Une fois n’est pas coutume, l’éditeur à la Marguerite ratisse large avec sa quinzième vague Blu-ray Gaumont Découverte en proposant des longs-métrages issus des années 60 et 80 mais aussi deux films beaucoup plus récents de ce millénaire.
Sur les sept titres de cette nouvelle vague, quatre sont des inédits sur le support tandis que les trois autres avaient déjà fait l’objet d’une parution en Blu-ray de par le passé : Fantomas et les deux OSS réalisés par Michel Hazanavicius. Les titres de cette nouvelle vague Blu-ray Gaumont Découverte sont les suivants (cliquez sur les titres pour accéder au paragraphe dédié) :
- Vive Henri IV… Vive l’amour !
- Fantomas
- Le Gentleman de Cocody
- C’est pas moi, c’est lui
- La Boum 2
- OSS 117 – Le Caire, nid d’espions
- OSS 117 – Rio ne répond plus
Vive Henri IV… Vive l’amour ! de Claude Autant-Lara (1961) – Disponible depuis le 22 juin 2016
Le roi découvre lors d’un ballet une ravissante inconnue, Charlotte de Montmorency. Il décide de la marier avec son neveu, le prince de Condé, afin d’en faire sa maîtresse. Une fois mariés, le prince enlève son épouse pour la soustraire au désir du roi.
En 1961, Claude Autant-Lara est à l’origine de deux longs-métrages « historiques » en costumes : l’un connaîtra un succès modeste (960 000 entrées), l’autre sera un véritable triomphe (4,5 millions d’entrées). Le triomphe est à mettre au crédit du Comte de Monte-Cristo, adaptation du classique de la littérature française signé Alexandre Dumas. L’autre sera donc cette relation entre Charlotte de Montmorency et Henri IV, assassiné par Ravaillac. Dans le reportage d’époque présent au sein des bonus, on assiste aux répétitions puis au tournage de la scène de duel à l’épée suivi d’une courte intervention du réalisateur, accompagné du directeur de la photo (Jacques Natteau), qui précise ses intentions : faire une comédie la plus fidèle possible vis-à-vis de la réalité historique, le tout avec « un traitement particulier de l’image et des couleurs ». Des arguments qui n’auront de toute évidence que moyennement convaincu le public de l’époque tant il faut bien reconnaître que cette passion enflammée entre Charlotte et le Roi traitée sur le ton de la légèreté (avant de basculer progressivement dans le drame) est loin d’aboutir au plus mémorable des longs-métrages d’Autant-Lara. En revanche, rien à dire du côté de l’image et du son avec une restauration qui rend pleinement justice au travail photographique évoqué, si ce n’est peut-être une fois encore cette propension trop prononcée à notre goût au dégrainage du rendu vidéo.
Notes :
– Image : 3,5/5
– Son : 4/5
– Bonus : 1/5
Spécifications techniques :
– Image : 2.35:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD Master Audio 2.0
– Sous-titres : Français pour sourds et malentendants
– Durée : 2h 00min 03s
Bonus (en HD) :
– Reportage sur le tournage (4min 52s)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080
Fantomas de André Hunebelle (1964) – Disponible depuis le 22 juin 2016
Un mystérieux personnage commet vols et crimes sous le nom de Fantomas. Le journaliste Fandor saisit cette occasion pour écrire un article à sensation, prétendant avoir rencontré le « monstre ». Accompagné du commissaire Juve, il découvre que pour réaliser ses méfaits, Fantomas utilise de multiples masques qui lui permettent de revêtir n’importe quelle identité.
Est-il vraiment nécessaire de présenter ce classique de la comédie populaire française ? Si le personnage imaginé par Pierre Souvestre et Marcel Allain au début du 20ème siècle a fait l’objet de multiples adaptations cinématographiques, notamment la série de longs-métrages réalisés par Louis Feuillade au cours des années 1910, la trilogie signée André Hunebelle avec le duo Louis De Funès – Jean Marais en tête d’affiche datant des années 60 reste sans doute la transposition la plus connue auprès du grand public. Une reconnaissance que l’on doit sans conteste à l’aura de celui qui aujourd’hui encore est considéré comme le comique préféré des français : Louis de Funès. Quoi de plus normal après tout pour ce champion du box-office de l’époque qui attirait à chaque fois le public en masse dans les salles (4,5 millions dans le cas présent). Dans l’excellent documentaire disponible en bonus et intitulé Fantomas 70, Jan Kounen nous rappelle que le succès de la série tient bel et bien à la présence de De Funès tandis que Jean Marais était réduit au rôle de « faire-valoir » qui faisait lui-même presque toutes ses cascades (à l’exception de la séquence en chute libre). Un rôle que Jean Marais avait accepté par dépit après que Hunebelle ait refusé de lui octroyer le rôle-titre d’un certain OSS 117 tandis que celui du commissaire Juve échoua à De Funès suite au refus de dernière minute d’un certain Bourvil. Un doc passionnant donc et très complet qui réunit archives d’époque et interviews récentes où Jacques Dynam (l’interprète de l’inspecteur Bertrand, le bras-droit du commissaire Juve) résume en ces termes l’ambiance sur le tournage : « on se fendait la gueule, on ne faisait que des conneries avec Fufu (De Funès) ». Et qu’importe si les critiques de l’époque ne voyaient que de la merde dans les films d’André Hunebelle puisqu’ils plaisaient au public. Et l’on ne pourra que plussoyer à la déclaration de Mylène Demongeot lorsqu’elle annonce que ce Fantomas là « s’est bonifié avec l’âge » tant l’ensemble se (re)découvre aujourd’hui encore avec un plaisir intact. De surcroît à l’aune de cette réédition Blu-ray qui a bénéficié d’une restauration soignée de l’image et du son.
Notes :
– Image : 4/5
– Son : 4/5
– Bonus : 3,5/5
Spécifications techniques :
– Image : 2.35:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD Master Audio 2.0
– Sous-titres : Anglais, Français pour sourds et malentendants
– Durée : 1h 44min 16s
Bonus (en HD) :
– Fantomas 70 (52min 25s, SD)
– Bande-annonce (3min 52s)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080
Le Gentleman de Cocody de Christian-Jaque (1965) – Disponible depuis le 22 juin 2016
En Côte d’Ivoire, au fin fond de la forêt équatoriale, un diplomate accompagne une ravissante chasseuse de papillons. Celle-ci est en fait le chef d’un gang qui recherche l’épave d’un avion contenant une fabuleuse cargaison de diamants, fruits de plusieurs années de larcins commis par les « Fils de la Panthère ». Ainsi, la chasse au trésor va se transformer en une poursuite infernale entre les deux bandes et la police.
Jean Marais à nouveau dans une œuvre tout aussi « légère » que Fantomas mais pour un résultat assurément moins mémorable et qui ne sera pas sans rappeler un certain Homme de Rio avec notre Bébel national en haut de l’affiche sorti un an plus tôt. Qu’importe la destination, exotique de préférence (le Brésil dans le cas du film de Philippe De Broca, la Côte d’Ivoire dans celui signé Christian-Jaque), le public répondait présent dans les salles avec respectivement 4,8 millions et 2 millions d’entrées. Comme nous le rappelle Michel Wyn, assistant réalisateur de Christian-Jaque sur La Tulipe Noire, dans le supplément intitulé fort-à-propos Christian-Jaque le boulimique, le cinéaste enchaînait les tournages à un rythme effréné, aboutissant inévitablement à des films moins bons que d’autres. Le Gentleman de Cocody entretient donc cette image auprès du grand public d’un Jean Marais à mi-chemin entre le séducteur de ses dames et un comédien rompu aux scènes les plus physiques, le tout dans une ambiance totalement décomplexée et qui, aujourd’hui encore, se revoit sans déplaisir. D’autant que le boulot de restauration est une fois encore admirable au plus haut point et ce en dépit d’un dégrainage une nouvelle trop prononcé à notre goût (cf. les visages cireux sur la dernière capture ci-dessous).
Notes :
– Image : 3,5/5
– Son : 4/5
– Bonus : 1,5/5
Spécifications techniques :
– Image : 2.35:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD Master Audio 2.0
– Sous-titres : Français pour sourds et malentendants
– Durée : 1h 24min 14s
Bonus (en HD) :
– Christian-Jaque le boulimique (8min 56s)
– Bande-annonce (3min 04s)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080
C’est pas moi, c’est lui de Pierre Richard (1980) – Disponible depuis le 22 juin 2016
Pierre est le « nègre » du célèbre scénariste à succès Georges Vallier. Lassé d’écrire dans l’ombre pour des sommes ridicules, il demande des comptes à son patron. Afin de le neutraliser, celui-ci donne à Pierre l’invitation du célèbre comédien italien Aldo Barazzuti, qui reçoit le « tout cinéma ». Lors de la réception, Pierre est pris pour Vallier. Sans démentir, il joue le jeu et accepte de partir en Tunisie avec Aldo afin de lui écrire un scénario sur mesure.
Le duo Pierre Richard / Aldo Maccione réunit en tête d’affiche. Tout est dit ou presque. Ajoutez-y l’atout charme Valérie Mairesse, petite bombe cinégénique de l’époque et vous obtenez un cocktail détonnant et toujours aussi fendard. Pour les besoins de C’est pas moi, c’est lui, cinquième long-métrage réalisé par Pierre Richard, ce denier enfila pas moins de quatre casquettes : producteur, scénariste, réalisateur, acteur et dirigeait le Don Juan italien Aldo Maccione pour la deuxième fois après Je suis timide mais je me soigne (1978). Dans le petit reportage du JT de FR3 Nord Pas-de-Calais sur le tournage du film proposé en guise de bonus, Pierre Richard reconnaît bien volontiers employer les mêmes « armes » que tous les vaudevilles en citant au hasard Feydeau tout en poussant les poncifs inhérents au genre jusqu’à une certaine forme de burlesque caractéristique d’une large majorité de sa filmographie. Valeur sûre du box-office de l’époque, Pierre Richard remporta une nouvelle fois un bien joli succès avec ce film (2,1 millions d’entrées) dont les pitreries et autres mésaventures nous font toujours autant marrer près de 40 ans après. D’autant plus à l’aune d’une restauration HD très probante avec une image et un son de très bonne tenue même si le dégrainage (moins prononcé que sur Le Gentleman de Cocody) reste néanmoins par trop prégnant à notre goût.
Notes :
– Image : 3,5/5
– Son : 4/5
– Bonus : 1/5
Spécifications techniques :
– Image : 1.66:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD Master Audio 2.0
– Sous-titres : Français pour sourds et malentendants
– Durée : 1h 34min 39s
Bonus (en HD) :
– Reportage sur le tournage (3min 49s)
– Bande-annonce (2min 27s)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080
La Boum 2 de Claude Pinoteau (1982) – Disponible depuis le 22 juin 2016
Deux ans plus tard. Vic est devenue une ravissante jeune fille de seize ans qui se préoccupe moins de son entrée au lycée que de ses amours. Absorbés par leurs métiers, ses parents ne se rendent compte de rien mais l’arrière-grand-mère Poupette, toujours complice et disponible, est là pour recueillir les confidences de Vic, l’encourager et stimuler sa fantaisie.
Comme nous l’indiquions dans notre article consacré à la réédition Blu-ray de La Boum en mars dernier, le long-métrage de Claude Pinoteau fit un carton au box-office (4,4 millions d’entrées), lança la carrière d’une certaine Sophie Marceau, et reste aujourd’hui encore un film « culte » pour toute une génération mais pas seulement grâce à une approche transgénérationnelle. Succès oblige, une suite verra donc le jour deux ans plus tard. Après l’excellent commentaire audio de Claude Pinotteau sur le premier film, le réalisateur se révèle toujours aussi insatiable et passionnant dans cet exercice et précise d’ailleurs que « la presse nous est tombée dessus en nous accusant d’exploiter le filon […] On n’aime pas trop le succès dans notre beau pays » tout en regrettant qu’il n’y ait pas eu de Boum 3 (euh, et L’étudiante en 1988, c’est quoi Claude sinon une Boum 3 à peine déguisée ?). Toujours est-il que dans La Boum 2, Sophie Marceau, quinze ans au moment du tournage, traverse un nouvel épisode amoureux qui permet au récit d’explorer de nouvelles thématiques qui, une fois encore, restent toujours d’actualité : premier rapport sexuel, conciliation entre travail et famille au sein du couple, etc. le tout sur un rythme toujours aussi enlevé, à mi-chemin entre rires et émotions avec, dans le rôle de la mamy boute-en-train la toujours aussi pétillante Denise Grey. C’est assurément ces thématiques intemporelles, ces personnages hauts en couleurs et cette narration sans temps-mort qui confère à cette suite, à un degré certes en deçà du premier film, un très haut pouvoir de re-visionnage plus de 30 ans après. De surcroît, à l’instar du travail accompli sur la réédition Blu-ray de La Boum, la restauration effectuée ici nous permet de redécouvrir cette suite dans des conditions audio-vidéos de très bonnes tenues.
Notes :
– Image : 4/5
– Son : 4/5
– Bonus : 2/5
Spécifications techniques :
– Image : 1.66:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD Master Audio 2.0
– Sous-titres : Anglais, Français pour sourds et malentendants
– Durée : 1h 47min 29s
Bonus (en HD) :
– Commentaire audio de Claude Pinoteau
– Bande-annonce (2min 53s)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080
OSS 117 – Le Caire, nid d’espions de Michel Hazanavicius (2005) – Disponible depuis le 22 juin 2016
Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d’espions. Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : anglais, français, soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l’ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117…
Les films récents (entendre par là : ceux issus du 21ème siècle) sont assez rares au sein de la collection Blu-ray Gaumont Découverte mais il y a néanmoins quelques exceptions. À l’image du diptyque OSS 117 réalisé par Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin dans le rôle-titre (un troisième volet étant toujours à l’état de rumeur plus ou loin insistante). Et si le nom de Michel Hazanavicius n’évoquait pas forcément grand-chose il y a dix ans avec un seul long-métrage à son actif, Mes amis (1999 – 12 000 entrées en salles), son boulot sur une certaine Classe américaine (1994) était loin d’être passé inaperçu auprès de certains. En revanche, après s’être illustré aux côtés de sa future-ex compagne à la ville (Alexandra Lamy) dans Un gars une fille (1999-2003), la carrière de Jean Dujardin était déjà en pleine ascension sur grand écran : Le Convoyeur (2004 – 480 000 entrées en salles), Mariages ! (2004 – 2 millions d’entrées), sans oublier bien sûr Brice de Nice (2005 – 4,4 millions d’entrées). La rencontre des deux hommes allait donner lieu à une collaboration de quatre succès en salles : les deux OSS 117 donc mais aussi le giga-triomphe planétaire de The Artist (2011, 3 millions d’entrées) et sa pluie de récompenses en tous genres (Cannes, Oscars, César, etc.) suivi des Infidèles (2012, 2,3 millions d’entrées).
En 2005, le tandem exhumait une veille gloire cinématographique des années 60 : Hubert Bonisseur de la Bath dit OSS 117. Mais en lieu et place d’un alter-ego hexagonal d’un certain James Bond 007, le duo Hazanavicius / Dujardin allait transformer le personnage en un pastiche d’agent secret (une approche qui rappelle ici précisément La Classe Américaine sus-citée). Le résultat ? Un individu plus proche d’un gosse dans le corps d’un adulte qui ne prend jamais la peine de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler, adepte des calembours d’une finesse toute relative et nanti de surcroît d’une bonne dose de misogynie et d’antisémitisme. Pour autant, comme le rappelle les deux hommes dans le commentaire audio, ils ont bien pris soin à ce que chacune des situations à priori politiquement incorrectes soit contrebalancées par les réparties / réactions des autres protagonistes pour mettre en exergue toute l’ignorance et la bêtise du personnage. Dix ans plus tard, cette toile de fond, à savoir l’ignorance de la culture musulmane dans le cas de OSS 117 – Le Caire, nid d’espions et juive dans le cas de OSS 117 – Rio ne répond plus, reste (hélas) toujours d’actualité et c’est sans doute ce qui fait tout le charme des deux films et qui leur assura par ailleurs un bien joli succès en salles avec respectivement 2,3 millions et 2,5 millions d’entrées (soit des scores peu ou prou en phase avec les films des années 60). De nombreuses répliques (« j’aime me beurrer la biscotte »), expressions (le sourire outrancièrement ultra brite de Dujardin) et autres séquences complètement farfelues se revoient toujours avec le même plaisir aujourd’hui encore. À condition de ne pas être allergique à cet humour, non pas juif, mais souvent proche d’une certaine forme de « ZAZ ».
Une approche qui, de toute évidence, fait toujours son effet auprès du réalisateur et du comédien qui passent beaucoup de temps à se marrer dans les commentaires audio présents sur les deux éditions Blu-ray. Et si l’on appréciera les différentes informations sur les coulisses du tournage, on n’aurait pas dit non à moins de fous rires et davantage de renseignements de ce genre. Pour le reste, tous les autres bonus présents sur les précédentes éditions Blu-ray des deux films parues respectivement en 2007 et 2009 ont été repris sur ces deux rééditions : makings of, scènes coupées, bêtisiers et autres bandes annonces. À cela s’ajoute des qualités techniques de tout premier choix, aussi bien en terme d’image que de son (longs-métrages récents oblige), aboutissant à des éditions Blu-ray de très haute tenue.
Notes :
– Image : 4,5/5
– Son : 4,5/5
– Bonus : 2,5/5
Spécifications techniques :
– Image : 2.35:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD High Resolution Audio 5.1
– Sous-titres : Anglais, Français pour sourds et malentendants
– Durée : 1h 39min 02s
Bonus (en HD) :
– Commentaire audio de Michel Hazanavicius et Jean Dujardin
– Scènes coupées
– Boulettes et pataquès (12min 26s)
– Réclame (1min 46s)
– Bande-annonce (2min 06s, DD 5.1)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080
OSS 117 – Rio ne répond plus de Michel Hazanavicius (2009) – Disponible depuis le 22 juin 2016
Douze ans après Le Caire, OSS 117 est de retour pour une nouvelle mission à l’autre bout du monde. Lancé sur les traces d’un microfilm compromettant pour l’État français, le plus célèbre de nos agents va devoir faire équipe avec la plus séduisante des lieutenants-colonels du Mossad pour capturer un nazi maître chanteur. Des plages ensoleillées de Rio aux luxuriantes forêts amazoniennes, des plus profondes grottes secrètes au sommet du Christ du Corcovado, c’est une nouvelle aventure qui commence. Quel que soit le danger, quel que soit l’enjeu, on peut toujours compter sur Hubert Bonisseur de la Bath pour s’en sortir…
Notes :
– Image : 4,5/5
– Son : 4,5/5
– Bonus : 3,5/5
Spécifications techniques :
– Image : 2.35:1 encodée en AVC 1080/24p
– Langues : Français DTS-HD Master Audio 5.1 & 2.0
– Sous-titres : Anglais, Français pour sourds et malentendants
– Durée : 1h 40min 428s
Bonus (en HD) :
– Commentaire audio de Michel Hazanavicius et Jean Dujardin
– Scènes coupées
– Making of : OSS 117, cavalcade à Rio (24min 20s), Jean Dujardin fait son show (3min 03s)
– Téléphones
– Bêtisier (11min 06s)
– La province ne répond plus… de rien ! (11min 07s)
– Teasers (3min 05s, DTS-HD HRA 5.1)
– Bande-annonce (2min 16s, DTS-HD HRA 5.1)
Cliquez sur les captures Blu-ray ci-dessous pour les visualiser au format HD natif 1920×1080