Sales gosses (2017) de Frédéric Quiring

Fiche film : Sales gosses

« Grâce à ma grand-mère, j’ai une tendresse et une affection inouïe pour les personnes âgées. Je les adore. Elles me touchent énormément et me font rire aussi. J’aimais l’idée qu’un jeune garçon d’aujourd’hui se retrouve confronté à ses aïeux et que ses préjugés sur le troisième âge s’effondrent à leur contact. Le sujet de la transmission me passionne. On a beaucoup à apprendre de nos aïeux et on est souvent très étonné de leur regard sur le monde. Je crois qu’on devrait les écouter plus souvent. » – Frédéric Quiring à propos de Sales gosses

Sales gosses (2017)

Réalisateur : Frédéric Quiring
Acteurs : Thomas Solivérès, Tanya Lopert, Albert Delpy, Carmen Maura, Michele Moretti, Jacques Boudet, Claude Aufaure, Liliane Rovere, Issa Doumbia, Barbara Bolotner, Frédérique Bel
Durée : 1h28
Distributeur : UGC Distribution
Sortie en salles : 19 juillet 2017

Résumé : Cet été, Alex se retrouve moniteur d’une « colo » très particulière. Car ici point d’enfants ni de têtes blondes… mais des retraités et des cheveux blancs. Ces charmants pensionnaires vont lui en faire voir de toutes les couleurs. Retraités déchaînés en colo, monos au bout du rouleau : il n’y pas d’âge pour être un sale gosse !

Articles / Liens :

  • Avis express : Les jolies colonies de vacances version senior (oui, la célèbre chanson de Pierre Perret est présente dans le film !). Mais des seniors particulièrement boute-en-train ! C’est ce à quoi nous conviait donc la bande-annonce et c’est précisément ce qui attira votre humble serviteur… avec toutefois la sempiternelle crainte d’avoir découvert le plus drôle précisément dans ladite bande-annonce. Par chance, il n’en est rien. Et les sales gosses en question d’enchaîner conneries et autres vacheries plus vite que des marmots hauts comme trois pommes. Et si l’ensemble n’est évidemment pas toujours bien fin, on rit souvent de bon cœur face à cette comédie à mi-chemin entre Scout toujours… (1985) et Les Bronzés (1978) mais qui n’en oublie pas pour autant de choyer à minima les sentiments de ses vacanciers en mode « carpe diem ». De là à ce que ces sales gosses deviennent aussi cultes que les films de Gérard Jugnot et de Patrice Leconte, c’est une autre histoire… 2,5/5 – SA

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