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Fiche film : Nos frangins (2022)

Avec Nos frangins, Rachid Bouchareb clôt la dorénavant trilogie initiée en 2006 avec Indigènes et Hors-la-loi en 2010.

Le choix du titre, Nos frangins, est inspiré de Petite, la chanson de Renaud que l’on entend à la fin du film. Le chanteur y mentionne Malik et Abdel en parlant de « nos frangins qui tombent ».

Nos frangins (2022)

Réalisateur(s) : Rachid Bouchareb
Avec : Samir Guesmi, Reda Kateb, Lyna Khoudri, Raphaël Personnaz
Distributeur : Le Pacte
Sortie en salles : 7 décembre 2022

Résumé : La nuit du 5 au 6 décembre 1986, Malik Oussekine est mort à la suite d’une intervention de la police, alors que Paris était secoué par des manifestations estudiantines contre une nouvelle réforme de l’éducation. Le ministère de l’intérieur est d’autant plus enclin à étouffer cette affaire, qu’un autre français d’origine algérienne a été tué la même nuit par un officier de police.

Articles / Liens :

  • Box office : 37 490 entrées sur 244 copies après 7 jours d’exploitation. Autant le dire, on est devant un énorme flop. Il suffit juste de comparer avec Les Amandiers qui avait réalisé 104 057 entrées sur 247 copies en première semaine. Un résultat déjà pas fameux surtout au regard du cumul au bout d’un mois qu’on vous laisse découvrir en cliquant ici. Edit 05/04 : 78 471 entrées au cumul en 6 semaines d’exploitation.
  • La chronique Blu-ray : Au moment où nous publions cette page rien n’a filtré quant à une éventuelle future édition Blu-ray. Mais connaissant la politique éditoriale du Pacte qui sort toutes ses nouveautés en Blu-ray, on ne voit pas comment le distributeur / éditeur stopperait une si bonne habitude. Edit 9/03 : Un Blu-ray est bien annoncé pour le 5 avril chez Le Pacte.

Nos frangins - Affiche

Une réflexion sur « Fiche film : Nos frangins (2022) »

  1. Septique, même cinéaste de « indigène ». car, indigène, un film qui ne tient pas du tout la route. Dès les premières images, on ne croit pas un instant à l’histoire. Malgré tout le talent de Djamel Debouze, il est absolument impossible, improbable, qu’un infirme (Debouze n’a qu’un bras) puisse partir à la guerre. Ce serait d’ailleurs un danger pour lui-même et ses camarades. Incapable de tenir un fusil (entre autres) , à fortiori de tirer avec, un soldat à un fusil, jamais un pistolet, incroyable que le réalisateur ait omis ce fait important, un infirme est automatiquement réformé ! Donc, dès les premières images, on ne croit à l’histoire. Un film raté…

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