Après une sortie estivale tumultueuse (doux euphémisme) dans les salles obscures, Tenet a débarqué juste à temps au pied du sapin en cette fin d’année 2020 dans une édition Blu-ray 4K Ultra HD qui permettra à tout un chacun de le (re)découvrir bien au chaud dans son home sweet home-cinéma.
Archives par mot-clé : Christopher Nolan
Christopher Nolan en Blu-ray 4K Ultra HD
Le cinéaste est une valeur sûre du cinéma contemporain. Et puisqu’une majorité de films de Christopher Nolan en Blu-ray 4K Ultra HD sont disponibles.
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Cannes 2018 : La sélection Cannes Classics
Cannes Classics, la sélection officielle du festival de Cannes consacrée au cinéma « retrouvé » et à l’histoire du cinéma, vient d’annoncer son cru 2018. Au programme de cette édition, vingt-sept films dont 7 projetés sur la plage et un court-métrage ainsi que 7 documentaires ou séances spéciales. Si les films sont projetés essentiellement en DCP (restauration 2K ou 4K), 2001 Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick sera montré dans une copie 70mm spécialement tirée pour l’occasion à partir d’éléments du négatif original. Il s’agit d’une recréation photochimique fidèle qui n’a fait l’objet d’aucune retouche numérique, effet remastérisé ni modification de montage. La séance sera présentée par Christopher Nolan, ardent défenseur de la pellicule et grand fan du film. Continuer la lecture de Cannes 2018 : La sélection Cannes Classics
Dunkerque : Nolan bombarde en 4K
Après avoir rencontré un nouveau succès en salles, le dernier long-métrage de Christopher Nolan, Dunkerque, débarque dans une édition Blu-ray 4K Ultra HD qui envoie du lourd. Du très lourd même. Attention, voici d’ores et déjà un futur titre de démo en puissance sur le support. Mais pas seulement. Explications.
Dunkerque : Le cuirassé Nolan
Il faut croire que Christopher Nolan a lu notre critique d’Interstellar (inutile d’écarquiller les yeux et allez plutôt la lire) puisque toutes les dérives que nous pointions intelligemment (oui oui intelligemment) du doigt à l’époque ont été purement et simplement gommées sur Dunkerque. Deux exemples parmi d’autres parce que nous sommes généreux avec toi ami lecteur. La longueur d’abord. 2h50 interminables sur Interstellar, 1h47 ici alors qu’entre nous, y avait là encore matière à pouvoir lâcher les chevaux. À tel point d’ailleurs que l’on regrette cette durée si courte. Oui, on le concède, faudrait savoir ce que l’on veut. On répondra que c’est l’apanage du critique (comme du politique) qui n’aime rien d’autre qu’adapter sa prose (son programme) en fonction du film (du temps). Le côté verbeux ensuite et accessoirement cette philosophie de comptoir assénée tout au long d’Interstellar versus le peu de dialogues sur Dunkerque qui redonne tout son sens à la mise en scène de Nolan. Pour autant, est-ce que Dunkerque qui n’est au passage absolument pas un film de guerre, change les us et coutumes de l’univers du cinéaste ?