Selon son réalisateur, Under The Silver Lake traite de la pop culture, qui est désormais la seule culture dans laquelle nous baignons tous, et du sens caché de chaque objet qui la compose : « certaines choses se passent à notre insu, sous la surface de l’eau. Le film raconte l’histoire d’un jeune homme insatisfait qui retient son souffle pour aller nager dans ces eaux sombres. »
La bande-originale d’Under The Silver Lake est signée Disasterpeace, l’artiste qui avait déjà composé la musique du précédent film de David Robert Mitchell, It Follows.
Under The Silver Lake emprunte les codes du film noir qui sont, d’après le réalisateur, les plus adaptés à la vision qu’il a de Los Angeles et de son histoire.