Archives par mot-clé : L’Homme Irrationnel

Box Office France du 14 au 25 octobre 2015 : Tout feu, tout flamme

Le Box office continue de rattraper son retard accumulé en septembre en confirmant d’une part l’engouement suscité par Les Nouvelles aventures d’Aaladin mais aussi en plébiscitant les pérégrinations de Matt Damon sur Mars. En chiffre cela donne un cumul hebdo du 14 au 20 octobre à 4 752 486 entrées et un Top week-end du 21 au 25 octobre à 4 559 044 entrées. Soit un total de 9 311 530 entrées à comparer aux 6 604 145 entrées des 10 jours précédents.

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Sorties Ciné du 14 octobre 2015 : Pic de forme irrationnel !

Bon, on va laisser tomber l’intro que l’on reprend depuis deux mois maintenant. Normalement tout le monde connaît dorénavant Sorties Ciné qui n’existe que pour se faire du bien (vous et surtout nous). Celui de défoncer les films quand ils ne le méritent pas, celui d’en encenser  quand ils ne le méritent pas… Entre les deux on s’en foutra un peu (beaucoup). Que cela ne vous empêche pas de lire nos critiques forcément chiadées  car pour le reste c’est qu’on aura eu la flemme ou que l’on sait le film mauvais ou parce que on n’a rien à dire d’intéressant (certaines mauvaises langues diront que c’est bien souvent le cas). Bref, l’idée est d’abord de se défouler et accessoirement d’informer. Pas le contraire. Ce serait trop simple et trop vertueux. Ce que, comme chacun le sait, nous ne sommes pas à DC (oui bon la fin de ce paragraphe reprend notre intro type. La flemme on vous dit !).

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L’Homme irrationnel : Woody le robot

On s’était un peu vite résigné avec Magic in the moonlight sur le cas Woody Allen. C’est que l’on pensait le réalisateur de retour sur des bons rails avec Blue Jasmine qui fut un uppercut salvateur au sein d’une filmographie d’où n’émergeait plus grand chose de notable depuis Match Point (2005) et dans une moindre mesure Whatever Works (2009). Quand on sait que le réalisateur enquille un film par an depuis des lustres, cela fait beaucoup de croix à biffer dans la case « à oublier » quand cela n’est pas « indigne de la part du cinéaste qui nous a donné Manhattan ». Pour autant, Magic in the moonlight n’était à ranger dans aucune de ces deux colonnes sans que toutefois l’on ne puisse en penser autre chose qu’une friandise sans autre ambition que de profiter du doux climat de l’arrière pays niçois. Une pré-retraite bien méritée en quelque sorte…

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