Sommet de la carrière de Claude Miller et du cinéma français, Garde à vue sort à présent dans une édition Blu-ray 4K Ultra HD qui, elle aussi, tutoie les plus hautes cimes.
Continuer la lecture de Garde à vue : Un 4K qui atteint des sommets
Sommet de la carrière de Claude Miller et du cinéma français, Garde à vue sort à présent dans une édition Blu-ray 4K Ultra HD qui, elle aussi, tutoie les plus hautes cimes.
Continuer la lecture de Garde à vue : Un 4K qui atteint des sommets
Premier long-métrage de Pierre Granier-Deferre à avoir les honneurs d’une parution sur support Ultra HD, l’excellent Adieu Poulet (1975) bénéficie de surcroît d’une édition Blu-ray 4K brillante à tous points de vue.
Continuer la lecture de Adieu Poulet : Lino dans un put*** de bon 4K !
Adieu poulet est le seul film policier réalisé par Pierre Granier-Deferre. Ou plutôt le seul qui lorgne du côté de la politique. Sous-genre qui dans la France des années 70 pouvait se targuer d’avoir accouché de quelques fleurons devenus des classiques aujourd’hui. On pense au hasard à Yves Boisset avec Le Juge Fayard dit « le Shériff » (1977) qui comme Adieu poulet ruait dans les brancards des institutions pour mieux en montrer non pas les limites mais plutôt leur résilience (oui mot à la mode on sait). Mais une résilience perverse. De celle qui met au pas tous ceux qui voudraient remettre en cause ses rouages ou pis, ses fondements. Dans Adieu poulet, les institutions mises en lumière sont celles qui régissent dans l’ombre une mairie et son maire qui a le bras long pour étouffer/minimiser la mort d’un flic et d’un colleur d’affiches tués tous deux en pleine campagne pour sa réélection par un de ses hommes de main/sbires. Et pour cela il faut mettre au pas le commissaire de la ville qui n’a en effet pas l’intention qu’on lui dicte sa conduite. Continuer la lecture de Adieu poulet – Deux hommes dans la ville
C’est déjà l’heure de la vague 5 chez Coin de Mire Cinéma alors que l’on est persuadé que même avec les confinements et autres couvre-feux vous n’êtes pas encore venus à bout des titres qui ont vus le jour lors des vagues précédentes. Mais que voulez-vous, il faut bien avancer ma bonne dame et tenter de suivre le rythme pantagruélique de cet éditeur qui en à peine deux ans s’est imposé comme un incontournable dans son domaine. Soit le cinéma français de patrimoine et plus précisément un maximum de films avec Jean Gabin, véritable péché mignon de Thierry Blondeau grand manitou et ordonnateur de Coin de Mire Cinéma. Et de fait, trois des six films proposés dans cette nouvelle vague sont portés par sa seule stature devenue mythique aujourd’hui. Et trois « Maigret » de surcroît. De ceux qui ont définitivement installé le personnage créé par Simenon au Panthéon de la mémoire collective française pour ne pas dire internationale. Quant aux trois autres titres proposés, ils ne sont pas en reste niveau têtes d’affiche mythiques puisque on pourra y croiser au débotté Charles Aznavour, Jean-Claude Brialy, Jean Carmet, Mireille Darc, Danielle Darrieux, Alain Delon, Fernandel, Louis de Funès, Michel Simon, Lino Ventura dans Le Diable et les 10 commandements de Julien Duvivier. Pierre Fresnay, François Perier dans Les Évades de Jean-Paul Le Chanois. Ou encore Michèle Morgan, Charles Boyer et Arletty dans Maxime d’Henri Verneuil.
On avait à peine bouclé la vague 2 que voilà l’éditeur Coin de Mire Cinéma toquant à la porte du site pour nous proposer une troisième salve de titres. Il est vrai aussi que l’on avait un chouïa lambiné durant la touffeur d’un été forcément propice à se la couler douce. Ce qui au final nous a donné juste le temps de relire et de mettre en ligne notre papier puis de prendre une douche, d’avaler un morceau pour remettre fissa le bleu de chauffe avec l’ambition d’être un tantinet plus rapide. De toute façon, plus long, c’était pas possible.