Cela fait plus de 10 ans que je me suis fait une raison. Moi qui avais échappé au phénomène Pokémon plus jeune, me voilà donc rattrapé par ces « Pocket Monsters » qui ont déferlés d’abord sur l’archipel nippon en 1996 pour envahir le reste du monde dès 1998 en commençant par les États-Unis. Mais on ne va pas vous faire l’affront, amis lecteurs, de continuer à recopier les infos glanées sur Wikipedia car on parie notre caleçon que si vous avez pointé le bout de votre souris sur ce site et cet article c’est tout simplement pour connaître notre avis sur ce nouvel opus débarqué sur la Switch intitulé Pokémon Diamant Étincelant. Mais autant vous prévenir tout de suite que vous êtes en fait très mal tombé. Pour avoir un avis circonstancié et carré sur la chose, on ne peut en effet que vous inciter à aller faire un tour sur les sites de référence en la matière. Ici, on ne fait que donner la parole à deux gameurs en herbe. Ceux là-même qui m’ont obligé à me faire une raison en laissant entrer au sein du gîte familial Pikachu et consorts.
La sortie de Metroid Dread coïncidait jour pour jour avec celle de la toute « nouvelle » console de Nintendo. Enfin, pas vraiment nouvelle puisque la Switch OLED est plutôt une version « upgradée » de la Switch sortie en 2017 dont le cœur du hardware (CPU, GPU, etc.) demeure inchangé tandis que la nouveauté majeure se situe au niveau de l’écran OLED, technologie qui, comme chacun le sait désormais, offre un rendu des couleurs et des contrastes autrement plus poussé que les traditionnels écrans LCD. Nintendo nous ayant fait parvenir non pas un exemplaire de cette nouvelle console (achetée avec nos propres deniers) mais un code pour Metroid Dread, nous avons donc pu nous essayer à la dernière aventure de Samus sur la Switch la plus aboutie à date.
Si les sorties de jeux vidéo sont une fois encore pléthoriques en cette fin d’année, ce noël 2019 marque également la fin d’une époque. Après s’être imposées au pied du sapin depuis leur sortie en novembre 2013, les consoles de Sony et Microsoft vont en effet tirer leur révérence et laisser la place l’an prochain à leurs remplaçantes, respectivement la PlayStation 5 et la Xbox Scarlett. D’ici là, il reste de quoi faire pour finir d’user les diodes et autres composants électroniques de votre PlayStation 4 et autre Xbox One. En voici la preuve.
Après une fin d’année comme toujours particulièrement chargée en matière de jeux vidéo, 2019 démarre lentement mais sûrement avec quelques sorties éparses. Un rythme adouci qui nous convient plutôt bien histoire de savourer quelques parties aux côtés de Donald Duck, de zombies ou encore de s’envoyer en l’air le temps d’une petite partie manche en main (n’y voyez aucun sous-entendu mal à propos, bande de petits pervers que vous êtes).
Histoire de varier les plaisirs entre deux tests Blu-ray 4K Ultra HD et autres séances ciné, il y a les jeux qui sortent sur PlayStation 4 et/ou Xbox One. Et pour passer le temps ailleurs que le cul vissé sur le canapé du salon, il y a les jeux sur Nintendo Switch. La petite dernière du géant nippon est d’ailleurs devenue le nouvel Eldorado de tous les éditeurs de jeux vidéo. À tel point que c’est un véritable déluge de titres qui sortent chaque semaine. Dans de telles conditions, inutile de préciser que le présent dossier agrémenté au fil de l’eau avec certains des titres parus ou à paraître en cette fin d’année (cela va dépendre du moment où vous lirez ces lignes) ne constitue qu’une sélection infinitésimale de l’impressionnant catalogue de la Nintendo Switch.