The Flash (2023) de Andy Muschietti - Blu-ray 4K Ultra HD

The Flash

Toutes les adaptations estampillées Marvel ou DC Comics ont désormais droit de siéger en Ultra HD, pour le plus grand bonheur des fans et des home-cinéphiles équipés du matos ad hoc. The Flash (2023) ne fait pas exception à cette règle et bénéficie d’une édition Blu-ray 4K top démo.

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The Flash - Édition boîtier SteelBook - Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray

Éditeur :Warner Bros. Entertainment France
Sortie le :18 octobre 2023  
Catégorie :Steelbook

Test Blu-ray 4K Ultra Haute Définition
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Son :
Bonus :

The Flash en Blu-ray 4K Ultra HD

Retrouvez les informations concernant nos captures et notre matériel de test sur cette page.

Testé à partir d’une édition définitive fournie par l’éditeur.

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The Flash (2023) de Andy Muschietti - Capture Blu-ray 4K Ultra HD

The Flash – Édition Boîtier Steelbook – Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray

Synopsis : Les réalités s’affrontent lorsque Barry se sert de ses super-pouvoirs pour remonter le temps et modifier son passé. Mais ses efforts pour sauver sa famille ne sont pas sans conséquences sur l’avenir, et Barry se retrouve pris au piège d’une réalité où le général Zod est de retour, menaçant d’anéantir la planète, et où les super-héros ont disparu. À moins que Barry ne réussisse à tirer de sa retraite un Batman bien changé et à venir en aide à un Kryptonien incarcéré, qui n’est pas forcément celui qu’il recherche. Barry s’engage alors dans une terrible course contre la montre pour protéger le monde dans lequel il est et retrouver le futur qu’il connaît. Mais son sacrifice ultime suffira-t-il à sauver l’univers ?

Disque 1 : The Flash en Blu-ray 4K Ultra HD

Spécifications techniques :

  • Image : 1.90:1 encodée en HEVC 2160/24p Dolby Vision
  • Langues : Anglais & Français Dolby Atmos & Dolby Digital 5.1
  • Sous-titres : Français, Anglais
  • Durée : 2h 24min 04s

Bonus (HD et VOSTF) :

  • Réaliser The Flash : Les réalités vont s’affronter (36min 55s)
  • Flashpoint : Introduction au multivers de DC (6min 21s)
  • Tu veux jouer les dingues : Le retour de Batman, encore ! (8min 31s)
  • La course-poursuite avec Batman (6min 50s)
  • À la rescousse de Supergirl (6min 49s)
  • La bataille contre Zod (5min 36s)
  • Combattre Dark Flash (7min 14s)
  • The Flash : La saga de Scarlet Speedster (38min 26s)
  • Supergirl : La dernière fille de Krypton (16min)
  • Scènes coupées (14min 13s)
  • Bande-annonce – The Flash : Évasion du cirque de minuit (1min 03s, VO)
  • The Flash : Évasion du cirque de minuit (93min 43s)
  • The Flash, séance en cours : Évasion du cirque de minuit (1min 58s)

Disque 2 : The Flash en Blu-ray

Spécifications techniques :

  • Image : 1.90:1 encodée en AVC 1080/24p
  • Langues : Anglais & Français Dolby Atmos & Dolby Digital 5.1
  • Sous-titres : Français, Anglais
  • Durée : 2h 24min 06s

Bonus (HD et VOSTF) :

  • Réaliser The Flash : Les réalités vont s’affronter (36min 55s)
  • Tu veux jouer les dingues : Le retour de Batman, encore ! (8min 31s)
  • Supergirl : La dernière fille de Krypton (16min)
  • Bande-annonce – The Flash : Évasion du cirque de minuit (1min 03s, VO)
  • The Flash : Évasion du cirque de minuit (93min 43s)
  • The Flash, séance en cours : Évasion du cirque de minuit (1min 58s)

Détails techniques :

  • Taille du disque : 85,20 Go
  • Taille du film : 65,04 Go
  • Bitrate vidéo moyen : 49,66 Mb/s (surcouche Dolby Vision : + 0,06 Mb/s)
  • Maximum CLL (Content Light Level) : 316 nits
  • Maximum FALL (Frame-Average Light Level) : 170 nits
  • VO Dolby Atmos (16-bit) : 3,31 Mb/s
  • VF Dolby Atmos (16-bit) : 3,30 Mb/s

2023 n’aura pourtant pas été une année très florissante pour les adaptations de comics en salles. Pour deux films Marvel qui ont cartonné, un autre n’a guère brillé tandis que trois DC Comics se sont plantés dans les grandes largeurs. Jugez plutôt avec les chiffres ci-dessous correspondants au budget et aux recettes au box-office mondial :

Il semble déjà bien loin le temps où de tels longs-métrages rameutaient les foules en masse dans les salles obscures avec des scores qui tutoyaient, voire même dépassaient allègrement la barre du milliard de dollars de recettes mondiales. Ces films sont-ils devenus trop longs (les cinq films ci-dessus durent tous entre 2h10 et 2h30) ? Les trois heures d’Avengers : Endgame (2019) n’avaient pourtant pas été un obstacle pour atteindre les 2,8 milliards de dollars de recettes. Sont-ils devenus trop prévisibles, trop ennuyeux, entrainant de fait une certaine lassitude de la part du public ? Cette raison serait déjà plus viable et expliquerait également pourquoi les deux films les plus réussis artistiquement parlant parmi les cinq sont également ceux qui s’en sortent le mieux.

Faut-il pour autant cracher sur The Flash telle la marche de la honte de Cersei Lannister dans Game of Thrones ? Nous n’irons pas jusque-là car au détour de scènes d’action gonflées au CGI laissant le sentiment d’avoir été déjà vues des centaines de fois, parfois même en mieux (qui a dit The Dark Knight pour la course-poursuite de Batman dans les rues de Gotham en ouverture ?), d’autres pans du film fonctionnent assez bien. À commencer par le fil rouge narratif de Barry Allen qui tente d’infléchir la courbe du continuum espace-temps afin de sauver sa mère sans pour autant réfléchir aux conséquences de ses actes. À défaut d’originalité (hello le clin d’œil à Retour vers le futur avec un certain Eric Stoltz dans le premier rôle), ce concept s’illustre à l’écran par des scènes dont l’émotion fait son petit effet. Et puis bien sûr, comment passer à côté de LA valeur ajoutée du film. À savoir son segment central en compagnie de celui qui restera sans doute à jamais LE Batman / Bruce Wayne du Septième Art : Michael Keaton dans le film de 1989 réalisé par Tim Burton. Du haut de ses 70 ans (et oui comme le temps passe !), la prestation du comédien parviendrait presque à nous faire oublier que le film s’appelle The Flash. Alors certes, à l’image de cette représentation d’un multiverse sphérique (où l’on a droit à des caméos qui ont fait grincer quelques dents de Christopher Reeve, George Reeves, Nicolas Cage ou encore Helen Slater), The Flash ressemble avant tout à un gigantesque Gloubi-boulga d’idées et de séquences mises bout-à-bout, avec la dose d’humour usuelle qui va bien, d’où l’on ressort en ayant déjà oublié ce que l’on vient de voir. Mais après tout n’en était-il pas déjà de même pour tant d’autres adaptations de comics avant lui ?

Du côté de l’édition Blu-ray 4K, nous sommes là aussi en terrain connu mais dans le bon sens du terme cette fois. À savoir des prestations techniques top niveau. À commencer par l’image au format 1.90:1 encodée en HEVC 2160/24p Dolby Vision à partir d’un master 4K. Que dire sinon que la définition est au top et les couleurs rayonnantes, y compris lorsque celles-ci prennent une tournure volontairement grise et terne lors de l’arrivée dans le manoir en décrépitude de Bruce Wayne (59min). Comme souvent avec les films ayant abondamment recours aux CGI, ces derniers passent plus ou moins bien le cap de la résolution 4K mais cela n’entache guère l’excellence du rendu. Si l’on voulait chipoter un brin, tout juste pourrait-on reprocher un bitrate un peu bas (50Mb/s de moyenne), la faute aux nombreux suppléments présents (2h30 de bonus vidéo sans compter le podcast de 90min) qu’il aurait sans doute été plus judicieux de reporter sur un troisième disque spécifique afin de laisser davantage de place aux 2h25 du film. Pour autant, nous n’avons pas décelé de défaillances compressives. Précisons également que le format 1.90:1 est bel et bien le ratio originel du film qui a été exploité ainsi dans tous les cinémas, à commencer par les salles IMAX dont les écrans ont un ratio… 1.90:1. CQFD.

Côté son, la scène d’ouverture entre Flash en plein sauvetage de bambins d’un côté et Batman en pleine course-poursuite dans les rues de Gotham de l’autre envoie sérieusement le pâté dans toutes les voies. Le reste du métrage est à l’avenant de cette entrée en matière et les amateurs de bande-son qui déchire tout sur son passage seront assurément aux anges. Petit bonus pour la route : allez donc tendre une oreille (voire même deux) du côté de la séquence où Barry découvre ses pouvoirs et fout un bazar pas possible en plein centre-ville avec un camion dont les instruments de musique se déversent partout dans la rue (47min). Spectacle multicanaux assuré. Cerise au sommet de ce gâteau acoustique, VO et VF sont toutes deux proposées en Dolby Atmos, phénomène suffisamment rare sur des éditions 4K de majors hollywoodiennes pour être signalé.

Côté bonus, alors que nous nous attendions aux habituelles featurettes promos aseptisées, quel ne fut pas notre surprise de découvrir des suppléments un peu plus consistants. Alors certes, on n’échappe pas aux habituels « tout est génial, tout le monde est super » mais au moins les coulisses de la production sont-elles un peu plus approfondies que d’ordinaire. À commencer par un intéressant journal de tournage, Réaliser The Flash, qui nous montre des extraits des 120 jours de tournage avec notamment des focus sur la batcave, la conception du costume de Flash ou encore la construction d’un bout de route et de cinq maisons « américaines » en Angleterre (la faute au Covid qui empêchait de tourner aux USA dixit les principaux intéressés). Un module spécifique est consacré au retour de Michael Keaton dans le costume du justicier chauve-souris. Ce n’est d’ailleurs pas sans une petite pointe d’émotion mêlée de nostalgie que ce dernier évoque la venue de son fils et de son petit-fils sur le tournage, se remémorant que son fils avait 4 ans à l’époque où il tournait le Batman de Tim Burton et que son petit-fils avait également 4 ans alors qu’il tournait The Flash. Si la plupart des autres bonus se focalisent sur les scènes d’action (la course-poursuite dans les rues de Gotham, le sauvetage de Supergirl, le combat contre Zod), on retiendra également trois autres suppléments : le premier consacré spécifiquement au personnage de Supergirl, La dernière fille de Krypton, le second au personnage de Flash, La saga de Scarlet Speedster, et enfin les six épisodes d’un podcast, Évasion du cirque de minuit, que l’on peut certes écouter en ligne mais qu’il est toujours plaisant de trouver ici (pour le jour où il ne sera plus disponible sur la toile justement). À noter que le disque Blu-ray ne reprend que la moitié des bonus présents sur le disque 4K (faute de place disponible sur le disque sans aucun doute).

À noter pour finir que l’éditeur nous a fait parvenir une édition Steelbook pour les besoins de cette chronique mais qu’il existe également deux autres éditions Steelbook, en exclusivité Fnac et Leclerc. A priori, celles-ci n’apportent aucune plus-value interactive ni même en termes de goodies, si ce n’est un visuel Steelbook différent. N’hésitez pas à nous signaler en commentaire si ce n’est pas le cas.

Les plus

  • Des prestations audio-vidéos top démo.
  • Une VF Dolby Atmos, oui oui c’est possible !
  • Un boîtier Steelbook, c’est toujours plus classe.
  • Des suppléments de qualité, phénomène assez rare sur des films récents.

Les moins

  • On n’a beau chercher, on ne voit pas.

De haut en bas :

  • Blu-ray
  • Blu-ray 4K UltraHD

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  • The Flash (2023) de Andy Muschietti - Édition Spéciale E.Leclerc Steelbook - Packshot Blu-ray 4K Ultra HD
Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray
Éditeur : Warner Bros. Entertainment France
Sortie le : 18 octobre 2023  
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  • The Flash (2023) de Andy Muschietti - Édition Spéciale FNAC Steelbook - Packshot Blu-ray 4K Ultra HD
Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray
Éditeur : Warner Bros. Entertainment France
Sortie le : 18 octobre 2023  
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  • The Flash (2023) de Andy Muschietti - Affiche
Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray
Éditeur : Warner Bros. Entertainment France
Sortie le : 14 décembre 2023  
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  • Black Adam + The Flash - Packshot Blu-ray 4K Ultra HD
Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray
Éditeur : Warner Bros. Entertainment France
Sortie le : 18 octobre 2023  
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Une réflexion sur « The Flash »

  1. Bonjour, si on a on un lecteur blu ray classique, pourra t on lire les bonus qui sont sur le blu ray 4 k (ces bonus n etant pas en 4k)? Merci.

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