Comment je suis devenu super-héros est adapté du roman homonyme de Gérald Bronner, également co-scénariste sur le long métrage.
Comment je suis devenu super-héros devait à l’origine sortir en octobre 2020, mais il a été reporté au mois de décembre de la même année puis à avril et mai 2021 en raison de la pandémie de Covid-19. Finalement, le film sort le 9 juillet 2021 sur Netflix.
Comment je suis devenu super-héros est le premier long du réalisateur Douglas Attal dont le budget final titille les 15M d’euros.
Le réalisateur Guillaume Pierret s’est fait remarquer en 2012 avec son court-métrage Matriarche qui a été présenté dans plusieurs festivals dont celui de Cognac qui s’appelle depuis 2011 Festival POLAR de Cognac.
Balle perdue est son premier long. Il est diffusé exclusivement et mondialement sur la plateforme de streaming Netflix.
Tyler Rake est une adaptation d’un roman graphique intitulé Ciudad par Joe Russo qu’il a coécrit avec son frère Anthony Russo et Ande Parks il y a une dizaine d’années.
Dans leur quête d’un réalisateur, les frères Russo ont très vite pensé à Sam Hargrave, l’un des plus grands coordinateurs de cascades d’Hollywood, qui a travaillé sur des projets aussi prestigieux que Atomic Blonde et The Hunger Games. Ils admirent depuis longtemps la capacité de Sam Hargrave à traduire le caractère des personnages à travers l’action. Ils ont également été impressionnés par son travail sur les films de Marvel, lorsqu’il jouait la doublure de Chris Evans ou qu’il coordonnait les cascades pour Avengers: Infinity War et Endgame.
Uncut Gems est un projet de longue date pour les frères Benny et Josh Safdie qui a démarré en 2009 lorsqu’ils ont écrit un premier script du film. Ils se sont largement inspirés des histoires que leur contait leur père qui travaillait à l’époque pour un certain Howard au sein du quartier diamantaire à New York.
La dorénavant quadrilogie mafieuse que le grand public a découvert avec Les Affranchis en 1990 et dont Casino cinq ans plus tard en proposait une sorte de prolongement a donc trouvé en The Irishman sa conclusion sous la forme de petite note de synthèse d’une durée d’à peine 3h29. Une broutille surtout quand il s’agit de retracer plus de 60 ans de l’histoire des États-Unis en faisant le choix de se concentrer sur la transhumance monétaire qui irrigue ad nauseam le capitalisme yankee. Le fameux « follow the money » régit donc un film qui donne aussi la possibilité à son Martin Scorsese de cinéaste de régler ses comptes avec le mythe des bad guys érigés au rang d’icônes incarnés qu’on lui colle au cul de sa pelloche depuis toujours. Depuis Mean Streets en fait qui s’il n’est pas tout à fait le premier long de Scorsese n’en demeure pas moins celui qui l’a identifié comme le meilleur portraitiste de cette mafia d’en bas où les « petites mains » font la grande Histoire.