Blanche-Neige et les sept nains (1937) de David Hand - Blu-ray 4K Ultra HD

Blanche-Neige et les sept nains : Heigh-Ho, on rentre du 4K !

Premier grand classique animé des studios Disney, Blanche-Neige et les sept nains sort dans une édition Combo Blu-ray 4K + Blu-ray de tout premier choix sur le plan technique. Seul le disque Blu-ray nous a pour le moins interloqué.

DigitalCiné peut percevoir un modeste pécule sur les achats effectués via les liens d'affiliation.

Blanche-Neige et les sept nains - Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray

Éditeur :Walt Disney France
Sortie le :13 mars 2024  

Test Blu-ray 4K Ultra Haute Définition
Image (4K) :
Image (2K) :
Son :
Bonus :

Retrouvez les informations concernant nos captures et notre matériel de test sur cette page.

Testé à partir d’une édition définitive fournie par l’éditeur.

Retrouvez nos captures 4K UltraHD en résolution native 3840 x 2160 pixels au format PNG non compressé sur notre Patreon

Blanche-Neige et les sept nains (1937) de David Hand - Capture Blu-ray 4K Ultra HD

Blanche-Neige et les sept nains – Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray

Synopsis : Blanche-Neige est une princesse d’une très grande beauté, ce qui rend jalouse sa belle-mère. Celle-ci demande quotidiennement à son miroir magique de lui dire qu’elle est la plus belle ; mais un jour, le miroir affirme que la plus belle femme du royaume est Blanche-Neige. La reine décide alors de la tuer mais le garde chargé de cette tâche ne trouve pas le courage et abandonne Blanche-Neige dans la forêt. Perdue, à bout de forces, elle échoue dans une maison où habitent sept nains.

Disque 1 : Blanche-Neige et les sept nains en Blu-ray 4K Ultra HD

Spécifications techniques :

  • Image : 1.37:1 encodée en HEVC 2160/24p HDR10
  • Langues : Anglais DTS-HD Master Audio 5.1, Français DTS-HD High Resolution Audio 5.1
  • Sous-titres : Français, Anglais
  • Durée : 1h 23min 09s

Bonus :

  • Aucun

Disque 2 : Blanche-Neige et les sept nains en Blu-ray

Spécifications techniques :

  • Image : 1.33:1 encodée en AVC 1080/24p
  • Langues : Anglais DTS-HD Master Audio 7.1, Français DTS-HD High Resolution Audio 7.1
  • Sous-titres : Français, Anglais
  • Durée : 1h 23min 11s

Bonus (HD et VOSTF) :

  • La Princesse et la grenouille (7min 45s, VF)
  • Les coulisses de la production
    • Blanche-Neige revient (8min 44s)
    • Scènes coupées
      • La soupe (4min 07s)
      • La construction du lit (6min 38s)
  • Musique : Some day my prince will come par Tiffany Thornton (3min 34s)
  • Mode familial
    • Miroir sur le mur
    • Que voyez-vous ?
    • Joyaux éternels
  • Commentaires audio

Détails techniques :

  • Taille du disque : 59,80 Go
  • Taille du film : 58,93 Go
  • Bitrate vidéo moyen : 84,50 Mb/s
  • VO DTS-HD Master Audio 5.1 (24-bit) : 2,96 Mb/s
  • VF DTS-HD High Resolution Audio 5.1 (24-bit) : 1,99 Mb/s

Est-il vraiment bien nécessaire de vous présenter Blanche-Neige et les sept nains (1937) ? Sûrement pas tant ce classique des studios Disney a depuis bien longtemps dépassé le simple carcan du Septième Art pour faire désormais partie intégrante de la culture populaire. Au point même d’éclipser (presque) le conte des Frères Grimm dont il est adapté. Tout ou presque a déjà été dit au sujet de ce tout premier long-métrage animé du studio qui marqua les débuts de ce qui est désormais communément appelé « L’Âge d’Or des Studios Disney » et donnera le jour à d’autres grands classiques : Pinocchio (1940), Fantasia (1940), Dumbo (1941), Bambi (1942). Comment Walt Disney dû recruter à tour de bras en pleine Grande Dépression pour ce qui n’était alors qu’une compagnie comptant une poignée de salariés. Comment il organisa des projections en présence de banquiers alors que le projet n’en était encore qu’à l’état de simple ébauche en vue d’obtenir le financement nécessaire de 1,5 millions de dollars, soit une véritable fortune pour l’époque. Mais une fortune qui se voit à l’écran.

Aujourd’hui encore, 85 ans plus tard, (re)voir Blanche-Neige et les sept nains, c’est avant tout et surtout se prendre une gigantesque baffe visuelle en pleine face tant le degré de finition de chaque planche à dessin et la qualité de l’animation sont à s’en décrocher la mâchoire. De surcroît lorsqu’on se rappelle que tout ceci fut dessiné à la main. Mais pas seulement car Blanche-Neige et les sept nains c’est aussi et surtout un conte aussi simpliste qu’intemporel. N’en déplaisent aux féministes d’aujourd’hui qui goûteront sans doute assez peu cette vision d’un autre âge d’une princesse qui accepte de faire la cuisine, le ménage et la lessive chez les sept nains qui la recueille tout en espérant « qu’un jour son prince viendra ». Il conviendra en effet de regarder par-delà ce premier niveau de lecture afin de saisir toute l’universalité du discours et ses thématiques socio-psychologiques sous-jacentes. Ce n’est pas un hasard non plus si au fil des suppléments présents dans les bonus, à commencer par le making of de 30 minutes, une très forte influence européenne plane sur toute la création du film : depuis l’histoire d’origine (les frères Grimm sont allemands est-il besoin de le rappeler) jusqu’au responsable de l’animation Albert Hurter (suisse) en passant par l’illustrateur Gustaf Tenggren (suédois). « Enfantin » de prime abord, le film regorge de petites touches visuelles comme autant de sujets qui parleront également aux plus âgés.

Enfin, impossible de parler de Blanche-Neige et les sept nains sans évoquer son pendant musical et ses chansons, elles-aussi à jamais inscrites dans les annales. Depuis Sifflez en travaillant jusqu’à Un jour mon prince viendra, chaque chorégraphie musicale à l’écran s’accompagne de chansons que (presque) tout le monde a déjà entendu au moins une fois dans sa vie, même ceux qui n’ont pas (encore) vu le film. Et que dire du mythique Heigh-Ho (on rentre du boulot) ? C’est à un véritable jukebox de chants enjoués, entrainants pour ne pas dire entêtants et intemporels auxquels nous convie ce long-métrage, le tout au service de petites scénettes qui s’emboitent à la perfection pour former au final ce tout premier et grand classique des Studios Disney qui n’a rien perdu de son aura au fil des décennies.

Et le meilleur moyen de jouir à nouveau de ce spectacle visuel et sonore sera par l’entremise de cette toute nouvelle édition Blu-ray 4K. Au fil des différents supports vidéo (LaserDisc, DVD, Blu-ray) et des décennies qui vont avec, Blanche-Neige et les sept nains n’a eu de cesse de faire l’objet de moults restaurations. La dernière en date, en haute définition, avait servi pour les différentes éditions Blu-ray sorties peu ou prou entre 2009 et 2017. En 2023 (aux États-Unis, 2024 en France), la sortie sur support Blu-ray 4K fut sans surprise l’occasion d’une toute nouvelle restauration avec à l’arrivée une image proposée au format 1.37:1 encodée en HEVC 2160/24p HDR10 à partir d’un nouveau master 4K obtenu à partir du négatif original.

Avant d’aller plus loin, précisons d’entrée de jeu que oui, certains plans ou certaines portions d’images apparaissent flous. Un phénomène lié à la caméra multiplane utilisée à l’époque pour photographier les différents celluloïds. On devine bien volontiers qu’avec les outils numériques d’aujourd’hui, les responsables, Kevin Schaeffer, directeur des restaurations du studio depuis plus de 30 ans maintenant, secondé dans sa tâche par Michael Giaimo, directeur artistique, et Eric Goldberg, animateur, auraient très bien pu gommer ou atténuer un tel phénomène, mais nous leur seront gré de s’en être abstenu afin de préserver l’intégrité artistique du long-métrage. Dans le même ordre d’idée, les regards les plus aiguisés ou bien ceux qui « s’amuseront » à faire des pauses ou des avances image par image, noteront quelques imperfections de copie mais là encore si les outils contemporains auraient très certainement permis d’aller plus loin en matière de « nettoyage », il n’est pas dit que le résultat obtenu n’aurait pas en partie dénaturé le rendu des celluloïds originaux.

Car en l’état, le nouveau master est vraiment splendide et laisse apparaître un gain substantiel par rapport à la précédente restauration que l’on trouvait en Blu-ray. Pour commencer, le ratio originel 1.37 est désormais préservé en lieu et place du 1.33:1 pour l’ancien Blu-ray (voire même plutôt du 1.34:1 d’après nos mesures). Nouveau master 4K oblige, le niveau de détails grimpe lui aussi d’un bon cran et permet de profiter d’une définition plus pointue aussi bien lors des plans larges (le château de la reine, la maison des nains) que lors des gros plans sur les visages. Dernier aspect et non des moindres : un léger grain est bel et bien visible, ce que les amateurs de rendu argentique apprécieront assurément à sa juste mesure.

Le Dolby Vision reste l’apanage de la plateforme Disney+

À tout cela vient s’ajouter un nouvel étalonnage HDR10 (le Dolby Vision restant comme toujours l’apanage de la plateforme de streaming Disney+, dommage !) qui vient renforcer juste ce qu’il faut les couleurs originelles sans chercher là encore outre mesure à verser dans des teintes trop « modernes ». Un résultat appréciable pour l’ensemble des décors, costumes et autres objets observables de bout en bout, tel que le rouge luisant de la fameuse pomme, le violet de la cape de la reine ou encore le noir de sa tenue après sa transformation en vieille sorcière. Mais le meilleur exemple de l’apport de ce nouvel étalonnage sera sans doute à chercher du côté des vêtements des sept nains, qui portent tous des tenues dont on pourra désormais apprécier encore davantage toutes les subtilités colorimétriques : cf. les vestes portées par Prof, Joyeux et Grincheux, toutes trois dans des nuances de rouge bien distinctes. Un vrai régal pour les yeux que toutes ces teintes désormais rehaussées juste ce qu’il faut.

Des louanges auxquelles viennent s’ajouter l’encodage, exemplaire lui-aussi, puisque exempt de tout défaut apparent. Il faut dire aussi qu’avec un long-métrage animé aussi court (1h23) et autant de place disponible sur le disque double couche (puisque les bonus sont proposés sur le disque Blu-ray), il n’y a donc rien de vraiment surprenant à observer un bitrate aussi élevé (85Mb/s de moyenne).

Côté son, les changements sont moins flagrants par rapport aux précédentes éditions Blu-ray. Et pour cause, on retrouve « presque » les mêmes pistes audios. À savoir une piste anglaise DTS-HD Master Audio 5.1 et une piste française DTS-HD High Resolution Audio 5.1. Sur le disque Blu-ray, on trouve ces mêmes pistes en 7.1. Pas de panique, la différence entre 5.1 et 7.1 est vraiment marginale lors de certaines séquences bien spécifiques. Entre autres exemples nous pourrons citer : la première apparition du miroir (2min 40s), Blanche-Neige qui s’enfuit dans les bois (10ème minute), l’écho dans la mine où travaillent les nains (21ème minute), la Reine qui se transforme en vieille sorcière (50ème minute) ou encore lorsqu’elle est poursuivie par les nains en plein orage sous une pluie battante (76ème minute). Des passages bien spécifiques donc où tous les canaux, basses comprises pour certains (cf. la première apparition du miroir), sont alors sollicités avec un petit surplus dans les 2 canaux arrières pour les pistes 7.1 mais rien de renversant en comparaison des pistes 5.1. C’est avant tout la section musicale et notamment les différentes chansons qui profitent d’une belle amplitude tandis que les dialogues demeurent parfaitement audibles en toutes circonstances. Bien que très proche, la VO bénéficie d’un rendu un peu plus ample que la VF. Précisons à toutes fins utiles que cette dernière nous propose le troisième doublage français datant de 2001 où l’on retrouve un certain Gérard Rinaldi (oui, celui là-même de la mythique bande des Charlots) dans le rôle de Grincheux.

Côté bonus, le disque 4K n’en propose strictement aucun, laissant ainsi toute la place disponible comme on l’a dit pour l’encodage du film, et il faudra donc se tourner du côté du disque Blu-ray pour trouver une interactivité en demi-teinte. Le meilleur étant à mettre au crédit de l’excellent commentaire audio en compagnie de John Canemaker, spécialiste de l’animation, ainsi qu’un extraordinaire travail de montage de propos tenus par Walt Disney en personne à partir d’extraits recueillis sur près de trois décennies dixit son neveu Roy Edward Disney en introduction. Un supplément que l’on trouvait déjà sur les anciennes éditions DVD sorties en 2001 et qui reste à date la même source de renseignements sur les coulisses de la création de ce long-métrage. Si l’on appréciera également de retrouver Blanche-Neige revient, une hypothétique suite qui ne verra finalement jamais le jour et dont les esquisses furent retrouvées dans les archives du studio ainsi que deux scènes coupées, les autres suppléments sont plus anecdotiques : trois petits jeux, la chanson Un jour mon Prince viendra interprétée (en anglais) par Tiffany Thornton ainsi qu’une petite featurette promo pour accompagner la sortie de La Princesse et la grenouille (2009).

Et pour cause, ce disque Blu-ray est stricto sensu identique à celui que l’on trouvait dans l’édition Spéciale Blu-ray dite « Collection Diamant » sortie en 2009 et qui renfermait trois disques : le Blu-ray du film, un Blu-ray de bonus (qui n’a hélas pas été repris ici) ainsi qu’un DVD du film. Vous nous direz : cela n’a rien de très surprenant car de nombreux éditeurs font de même en matière de sorties Ultra HD : un disque 4K avec une nouvelle restauration de l’image (et parfois une nouvelle piste son Dolby Atmos ou DTS:X) accompagné du même disque Blu-ray que la précédente édition Blu-ray et de facto dépourvu du nouveau master vidéo.

De gauche à droite et de haut en bas :
Édition Blu-ray 2009
Édition Blu-ray 4K française
Édition Blu-ray 4K américaine

Oui mais voilà, si l’on compare l’édition Blu-ray 4K sortie aux États-Unis en octobre 2023 et celle qui sort en France en mars 2024, voici ce que l’on constate :

  • Le disque Blu-ray 4K est rigoureusement identique entre les deux éditions (USA vs France) : nouveau master 4K, pistes sons et sous-titres identiques, seule la sérigraphie sur le disque change (en anglais d’un côté en français de l’autre).
  • Le disque Blu-ray de l’édition française est le même que l’édition Blu-ray sortie en 2009 et de fait ne bénéficie pas du nouveau master 4K. À l’insertion du disque dans un lecteur PC, celui-ci s’intitule d’ailleurs « SNOW_WHITE_2014 » mais il s’agit en réalité du même disque que celui de 2009. On y retrouve d’ailleurs le fameux affichage dit DisneyView (à activer ou non) qui permet d’ajouter des peintures de Toby Bluth à gauche et à droite de l’image afin de remplir les barres noires verticales.
  • Le disque Blu-ray de l’édition américaine bénéficie quant à lui bel et bien du nouveau master 4K et propose de très nombreux suppléments que l’on trouvait (pour certains) sur l’édition Blu-ray sortie en 2009.

De fait, le disque Blu-ray présent au sein de l’édition américaine a fait l’objet d’un tout nouvel authoring. De surcroît, ce dernier propose bien la même piste française ainsi que des sous-titres français sur le film et sur l’ensemble des bonus. À tout cela s’ajoute la présence de la VO monophonique originale en Dolby Digital 2.0. Côté bonus, voici la liste des suppléments que l’on trouve sur ce Blu-ray américain :

  • Quand Walt Disney parle de Blanche-Neige et les sept nains (4min 22s)
  • Iconographie (7min 16s)
  • @DisneyAnimation : Le design de la première princesse Disney (5min 16s)
  • Ce que vous ignorez sans doute sur Blanche-Neige et les sept nains (4min 37s)
  • Blanche-Neige en soixante-dix secondes (1min 12s)
  • Séquence alternative : Le prince rencontre Blanche-Neige (3min 39s)
  • Le making-of du 1er long-métrage d’animation Disney (33min 15s)
  • Donner vie à Blanche-Neige (11min 35s)
  • Visite des studios Hyperion (30min 36s)
  • Décodage de la feuille d’exposition (6min 49s)
  • Blanche-Neige revient (8min 44s)
  • Réunions de travail : Les nains (5min 51s)
  • Réunions de travail : Le chasseur (3min 55s)
  • Scène coupée : La soupe (4min 07s)
  • Scène coupée : La construction du lit (6min 28s)
  • Les voix des personnages (6min 20s, SD)

Vous l’aurez compris, exception faite des deux scènes coupées et du petit reportage sur la suite de Blanche-Neige, de très nombreux suppléments (à commencer par l’excellent making of d’une demi-heure) sont donc absents de l’édition 4K française et ceux qui possédaient l’édition triple disque sortie en 2009 seront donc bien avisés de la conserver s’ils veulent continuer à profiter des anciens suppléments qui curieusement sont en partie différents de ceux que l’on trouve sur le nouveau disque Blu-ray américain. Oui, nous avons vérifié là encore et certains ont hélas disparu. Voici les suppléments que l’on trouvait sur le disque de bonus de l’édition Blu-ray de 2009 :

  • Les coulisses de la production:
    • Les studios Hyperion: Il s’agissait assurément là du bonus le plus élaboré de tous avec des transitions animées du plus bel effet nous permettant de naviguer de salle en salle du studio afin de découvrir une foultitude de petits documentaires sur les coulisses de la production. Ce bonus a été en grande partie repris dans le nouveau supplément intitulé « Visite des studios Hyperion » sur le disque Blu-ray américain, les transitions classieuses en moins.
    • Celui par lequel tout a commencé (17min 15s)
  • Bonus classiques:
    • Les voix des personnages (6min 21s, SD)
    • Disney à travers les décennies (35min 55s, SD)
    • Le chariot fou de Simplet (28min 22s, SD)
    • Hé Ho – Chantons ensemble(2min 44s, SD) qui proposait également une version karaoké

Mais alors pourquoi ne pas avoir proposé ce même disque Blu-ray au sein de l’édition française ? Cette question, nous l’avons bien sûr posé directement à ESC qui pour rappel a repris le flambeau de la distribution du prestigieux catalogue Disney au sens large (Disney, Fox, Marvel, Lucasfilm) en France depuis janvier 2024. Et la réponse (que l’on subodorait déjà très fortement) est que Disney n’a pas voulu donner accès à ce nouveau disque pour l’exploitation en France. Une décision pour le moins ubuesque (le disque Blu-ray n’est pas zoné, les menus sont accessibles en français, seule la sérigraphie sur le disque est en anglais) qui mériterait bien pour le coup d’aller toquer à la porte de la demeure non pas des sept nains mais du studio aux grandes oreilles afin d’en connaître la raison.

Si l’on met de côté le cas du disque Blu-ray, cette édition Blu-ray 4K de Blanche-Neige et les sept nains ravira à n’en pas douter les amateurs grâce à ses prestations techniques top-niveau.

Les plus

  • Le premier grand classique des studios Disney.
  • Des prestations audio-vidéo de tout premier choix.
  • Un commentaire audio oh combien riche et précieux.

Les moins

  • Un Blu-ray qui date de 2009 sans le nouveau master vidéo (pourtant repris sur l’édition 4K US) ni les anciens bonus.

De haut en bas :

  • Blu-ray – Édition 2009 / 2014
  • Blu-ray – Édition 2023 (U.S.A.)
  • Blu-ray 4K UltraHD – Édition 2023 (U.S.A.) / 2024 (France)

  Lâchez-vous !

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *