« Ghost in the Shell reste un succès inégalé au Japon mais nombreux sont ceux, aux États-Unis comme ailleurs, qui ont également vu et adoré le film d’animation. L’iconographie touche vraiment une corde sensible. Ces images sont devenues le fondement sur lequel on a bâti le film. On n’a pas réinventé le manga sans pour autant le reproduire au plan près » – Rupert Sanders
Dixit le dossier de presse, Conspiracy s’est hissé en 2008 en tête de la « Black List » qui recense les scénarios en attente de production les plus appréciés de la profession.
Depuis l’acquisition en 2008 des droits du manga signé Masamune Shirow (1989-1991) par DreamWorks et un dénommé Steven Spielberg, le projet d’une adaptation live de Ghost in the Shell cristallise à la fois toutes les attentes et toutes les craintes. D’une part eu égard à cette redoutable capacité qu’à Hollywood de se réapproprier les œuvres les plus emblématiques (romans, films, etc.) pour accoucher le plus souvent de longs-métrages, au mieux regardables au pire exécrables, mais aussi et surtout eu égard à l’anime originelle réalisée en 1995 par Mamoru Oshii considérée par tout un chacun, à l’instar d’un Akira, comme une pierre angulaire dans le genre. À la découverte des différentes bandes annonces et autres extraits de cette mouture 2017, lesdites craintes n’ont pas été remises au placard, bien au contraire. Et avec elles la question qui brûle désormais toutes les lèvres : presque dix ans après cette contractualisation, comment s’en sort cette version live de Ghost in the Shell ? En un mot comme en mille : ça bug !
« Le scénario dégage un véritable souffle romanesque. Ce qui me plaît le plus dans mon métier, c’est d’émouvoir le spectateur. Quand on a la chance de travailler à partir d’une intrigue aussi puissante, comportant d’innombrables rebondissements et coups de théâtre, on peut vraiment s’en donner à cœur-joie. Ce genre d’histoire me correspond parfaitement car j’aime faire en sorte que le public passe par toutes sortes d’émotions et me servir de tous les outils à ma disposition pour y parvenir » – Robert Zemeckis à propos de Alliés.
« Dans le premier film, il s’agissait de mettre en place un groupe de personnages appelés à former une famille ; dans le deuxième, ils sont galvanisés par l’éventualité d’une nouvelle menace. Tous les deux se déroulaient sur la Terre et du coup, avec Star TrekSans limites, c’est la première fois qu’on les voit embarqués dans une mission qui va durer cinq ans. C’est l’occasion de voir l’équipage de l’Enterprise dans le type d’aventure que l’on associe à la série de départ, propulsée aux confins de la galaxie ». J.J. Abrams