Le moins que l’on puisse dire c’est qu’avec Dune : Deuxième partie (on n’y peut rien c’est la dénomination officielle), Denis Villeneuve lâche quelque peu les chevaux. Les connaisseurs ne seront pas surpris étant entendu que le cinéaste canadien ne fait que suivre à la lettre et depuis le début les aventures du futur Kwisatz Haderach par Franck Herbert. Mais pour les autres qui ont de surcroît eut du mal avec la première partie, ce sera une délicieuse surprise dont nous allons essayer de comprendre en filigranes les implications futures.
À l’occasion de la sortie du Secret de la pyramide (1985) de Barry Levinson en Blu-ray chez Paramount Pictures France, nous mettons en jeu 2 exemplaires que nous vous proposons de remporter dans le cadre d’un petit jeu concours.
Dans la vie d’un amoureux du cinéma que d’autres catalogueront de cinéphile, il y a des réalisateurs que l’on a du mal à aborder. À cela de multiples raisons. Mais la plus évidente est son degré de « chiantitude » avéré ou non. Ce « DC » (à ne pas confondre avec les initiales de ce site vous serez gentil merci) a, comme la célèbre échelle de Richter, sa graduation qui peut s’entendre ainsi :
De 1 à 3 : un ennui à peine ressenti par les personnes. On en ressort indemne
De 4 à 5 : il est nettement ressenti et peut causer un début de lésions oculaires si la personne souffre à l’origine du syndrome des yeux secs.
De 6 à 7 : il est destructeur et provoque invariablement un décrochement de la mâchoire
À 8 : il est de plus ressenti sur une grande partie du corps dont les symptômes les plus usuels sont frissons de fièvres, fracture de la rétine, rires nerveux, plaques sur le torse et, dans certains cas, coma passager.
À 9 ou au-delà : il est dévastateur. Toutes les structures motrices du corps sont atteintes et pour les cas plus graves, le bulbe rachidien ne répond plus. À tel point d’ailleurs que lors d’une éventuelle autopsie, le légiste se trompera souvent avec un AVC comme étant la cause du décès.
À l’origine du film Les Derniers hommes, il y a eu une rencontre en 2015 entre David Oelhoffen et Jacques Perrin : « Il cherchait un réalisateur pour un projet qu’il portait déjà depuis plusieurs années. Il avait vu Loin des hommes, le film que je venais de terminer et qui avait des points communs avec son projet. Une histoire d’hommes chahutés par la guerre sur fond de colonisation, en l’occurrence la guerre d’Algérie dans Loin des hommeset l’Indochine pour Les derniers hommes. » – Voire notre rencontre filmée avec David Oelhoffen pour connaître la suite.