The Host (2006) de Bong Joon Ho - Blu-ray 4K Ultra HD

The Host

Après Parasite (2019) en 2000 et Memories of Murder (2003) l’an dernier, The Jokers sort en cette fin d’année un troisième long-métrage de Bong Joon Ho sur support Ultra HD. Sur le papier, les caractéristiques techniques et éditoriales de l’édition Blu-ray 4K Collector de The Host (2006) s’annoncent monstrueuses (oui on n’a pas pu s’en empêcher). Mais cela donne quoi une fois les galettes happées dans le lecteur ? Éléments de réponse.

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The Host - Édition Collector Limitée - Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray + Blu-ray Bonus + Storyboard

Éditeur :The Jokers
Sortie le :20 décembre 2023  
Catégorie :Collector

Test Blu-ray 4K Ultra Haute Définition
Image (4K) :
Image (2K) :
Son :
Bonus :

Retrouvez les informations concernant nos captures et notre matériel de test sur cette page.

Testé à partir de checkdiscs fournis par l’éditeur.

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The Host (2006) de Bong Joon Ho - Édition The Jokers 2023 (Master 4K) - Capture Blu-ray 4K Ultra HD

The Host – Édition Collector Limitée – Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray + Blu-ray Bonus + Storyboard

Synopsis : Séoul, de nos jours. Sur les bords du fleuve Han, les cinq membres de la famille Park coulent des jours paisibles autour de leur petit snack. Jusqu’au jour où, des profondeurs du fleuve, surgit une créature terrifiante et inconnue qui sème la mort et la désolation. Avant de replonger, elle s’empare de la petite dernière de la famille, Hyun-seo, et l’entraîne avec elle. Persuadée que Hyun-seo est toujours vivante, sa famille décide de partir à sa recherche. Bravant la quarantaine imposée par les autorités, pourchassée par le gouvernement et les militaires, la famille Park s’engage alors dans une course-poursuite haletante, des berges du fleuve Han jusqu’aux sinistres égouts de Séoul…

Disque 1 : The Host en Blu-ray 4K Ultra HD

Spécifications techniques :

  • Image : 1.85:1 encodée en HEVC 2160/24p Dolby Vision
  • Langues : Anglais Dolby Atmos, Français DTS-HD Master Audio 5.1
  • Sous-titres : Français
  • Durée : 1h 59min 55s

Bonus (HD et VOSTF) :

  • Histoires de famille (52min 21s)
  • Bande-annonce 2023 (2min 03s, HEVC 2160/24p Dolby Vision, VOSTF DTS-HD Master Audio 5.1)

Disque 2 : The Host en Blu-ray

Spécifications techniques :

  • Image : 1.85:1 encodée en AVC 1080/24p
  • Langues : Anglais Dolby Atmos, Français DTS-HD Master Audio 5.1
  • Sous-titres : Français
  • Durée : 1h 59min 55s

Bonus (HD et VOSTF) :

  • Histoires de famille (52min 21s)
  • Bande-annonce 2023 (2min 03s, VOSTF DTS-HD Master Audio 5.1)

Disque 3 : Le Blu-ray de bonus (HD et VOSTF)

  • Masterclass de Bong Joon Ho au Grand Rex en février 2023 (72min 58s, VF)
  • Aux origines de The Host (8min 58s)
  • Bong Joon Ho en action (3min 11s)
  • Dans la tête du monstre (14min 14s)
  • De l’animatique au rendu final
    • Première attaque (4min 51s)
    • Le diner de la créature (3min 34s)
    • Se-ju et Se-joon (3min 07s)
    • Course poursuite (3min 38s)
    • Hyun-seo et Se-joon (1min 14s)
  • La communauté de WETA (5min 45s)
  • La famille Park (3min 41s)
  • Le design de la créature (11min 20s)
  • Rencontre avec Bong Joon Ho (7min 01s)
  • Scènes coupées avec commentaire optionnel de Bong Joon Ho
    • La créature (2min 52s)
    • Les Park et compagnie (16min 50s)
  • Tournage au cœur des ténèbres (9min 42s)
  • Créer le monstre (20min 49s)
  • Du story-board à l’écran (6min 53s)

Détails techniques :

  • Taille du disque : 91,59 Go
  • Taille du film : 81,38 Go
  • Bitrate vidéo moyen : 79,69 Mb/s (surcouche Dolby Vision : + 0,09 Mb/s)
  • VO Dolby Atmos (24-bits) : 5,32 Mb/s
  • VF DTS-HD Master Audio 5.1 (24-bit) : 4,46 Mb/s

« Après Memories of Murder tu te lances dans un truc aussi pourri ? »

Dans le tout nouveau documentaire, Histoires de famille, proposé en bonus, c’est en ces termes que Bong Joon Ho se rappelle avoir été apostrophé par un individu qu’il se garde bien entendu de nommer tandis que beaucoup tentèrent de le dissuader de se lancer dans un tel projet qui, à les croire, serait compliqué et ferait un flop : « Il y a vraiment un vrai monstre dans le film ? » lui demandait-on systématiquement. Toutes ces personnes doivent (un peu) rire jaune eu égard aux 13 millions d’entrées au box-office coréen enregistrées lors de sa sortie en salles ($90M de recettes au box-office mondial pour un budget d’à peine $10M) mais aussi et surtout eu égard à la notoriété acquise par ce film « parfait » dixit Thierry Frémaux dans la Masterclass également proposé en complément.

Au début de ce même documentaire, Bong Joon Ho nous relate que la préparation de The Host avait commencé précisément alors qu’il bouclait la production de Memories of Murder. L’idée de départ était la convergence de plusieurs facteurs : sa fascination pour le célèbre monstre du Loch Ness, le fait qu’il habitait à côté du fleuve Han où se déroule l’action du film lorsqu’il était lycéen et enfin l’épidémie de SRAS de 2002 – 2004. Et s’il avait déjà bien en tête les comédiens qui allaient incarner les différents membres de la famille Park et avec lesquels il avait déjà travaillés auparavant, le rôle de la petite fille fit l’objet d’un casting. 14 ans à l’époque du tournage, Ko Ah-seong en a aujourd’hui 30 et se remémore le casting et le tournage au pied d’une statue du monstre érigée en Corée suite au succès du film. Les acteurs qui incarnent le grand-père (Byun Hee-bong qui s’est éteint en septembre dernier) et le frère (Park Hae-il) sont également de la partie et seuls la sœur (Bae Doo-na), championne de tir à l’arc, et le père de la gamine (Song Kang-ho très connu pour ses nombreux rôles chez Bong Joon Ho mais aussi Park Chan-wook) sont absents de ce documentaire.

Park Chan-wook et Bong Joon Ho, deux des cinéastes sud-coréens aujourd’hui les plus connus et sans surprise cités au cours de la Masterclass comme ayant fortement contribué à projeter le cinéma coréen sur le devant de la scène internationale au début des années 2000. Pour autant, le réalisateur de The Host qui s’est forgé sa cinéphilie en regardant la télévision (citant au passage Hitchcock et Peckinpah) n’en oublie ses ainés et notamment un certain Kim Ki-young et La Servante (1960) pour le rôle qu’il joua lui aussi dans cette reconnaissance du cinéma coréen au niveau mondial. Cette Masterclass est également l’occasion d’aborder des thématiques récurrentes au sein de la filmographie de Bong Joon Ho en général et de The Host en particulier (famille, société, politique) avant de revenir sur le cas Okja, que seul Netflix accepta de financer. L’occasion pour le cinéaste de déclarer, et Thierry Frémaux d’acquiescer sans surprise, que les films se doivent avant tout d’être vus en salles. En Corée, Okja aura d’ailleurs eu droit à une exploitation au cinéma tandis que Bong Joon Ho nous apprend qu’il existe une copie 35mm du film qui appartient à un certain… Quentin Tarantino. Et Frémeaux de préciser que ce dernier aime à conserver des copies 35mm de certains films pour sa collection personnelle afin de les projeter dans le cinéma dont il est propriétaire à Los Angeles, le New Beverly Cinema.

Et si The Host a bel et bien bénéficié d’une ressortie salles dans l’Hexagone en début d’année, avec notamment cette séance spéciale au Grand Rex suivi de la Masterclass enregistrée spécifiquement pour atterrir sur le disque de bonus de la présente édition, c’est aujourd’hui via cette même édition Blu-ray 4K Ultra HD qu’il est possible de (re)voir le film dans les conditions les plus optimales de la technologie home-cinéma actuelle.

Pour ceux qui n’auraient pas encore lu notre reportage sur les coulisses de la conception de cette édition 4K que nous avions réalisé en septembre dernier dans les locaux de The Jokers, nous allons vous en résumer les grandes lignes ici-même. Nous sommes ici en présence d’une image au format 1.85:1 encodée en HEVC 2160/24p Dolby Vision à partir d’un nouveau master 4K restauré issu d’un scan du négatif original 35mm monté d’une part et d’un scan des plans avec effets spéciaux depuis un internégatif d’autre part. Les deux scans ont ensuite été remontés numériquement pour constituer la source de la restauration. Les étapes de scan, restauration et étalonnage ont été réalisées en Corée sous la supervision de Bong Joon Ho (notez bien cette phrase surlignée en gras, on y revient juste après). Le fait que ledit master ait été intégralement conçu en Corée explique également la présence de sous-titres coréens incrustés dans l’image (et donc non amovibles) lors des passages en anglais (ce qui n’était pas le cas du précédent master utilisé sur le Blu-ray de 2008). Comme par exemple lors de la scène d’ouverture dans cette salle d’autopsie où va « naître » la créature suite au rejet de produits toxiques. Edit du 18/11/2023 : A ces moments-là, les sous-titres français sont positionnés au-dessus des sous-titres coréens et ne viennent donc pas se superposer sur ces derniers (cf. la capture ci-dessous).

The Jokers a ensuite récupéré ce master 4K SDR et un master 4K HDR qu’ils ont poussé en Dolby Vision mais à aucun moment The Jokers n’a altéré l’étalonnage colorimétrique du master récupéré de Corée. On préfère le préciser d’entrée de jeu car à la découverte des captures comparatives en fin d’article entre la précédente édition Blu-ray sortie chez Océan Films en 2008 et cette nouvelle édition combo Blu-ray 4K + Blu-ray de 2023, on en voit déjà d’ici qui vont bondir de leur fauteuil et hurler à la mort : « Mais c’est tout vert à présent ! ». À ces personnes, nous rétorquerons : relisez bien la phrase surlignée en gras ci-dessus. Ce nouvel étalonnage a été supervisé par Bong Joon Ho en personne. Alors oui, l’image prend désormais une tournure verte plus prononcée. Mais si c’est le cinéaste lui-même qui l’a voulu ainsi, qui sommes-nous pour remettre ce choix en question ? Dans le même temps, ce nouvel étalonnage et a fortiori en Dolby Vision offre une lisibilité remarquable du début à la fin avec des teintes magnifiquement saturées et contrastées. Surtout si l’on tient compte du fait qu’une majorité du film se déroule de nuit, dans les égouts ou encore sur une pluie battante. À noter pour en finir sur ce nouvel étalonnage que le nouveau master 4K de Memories of Murder, utilisé par Criterion pour son édition Blu-ray sortie en 2021 et par The Jokers pour son édition Blu-ray 4K sortie l’an passé, avait lui aussi été approuvé par Bong Joon Ho avec là encore une accentuation des teintes vertes / brunes.

Pour en revenir à ce nouveau master 4K de The Host, si quelques petites taches quasi imperceptibles subsistent çà et là, la copie est dans son ensemble d’une très grande propreté et le grain est bien présent, quoi que peut-être légèrement en retrait par rapport à la précédente édition Blu-ray de 2008. Nouveau master 4K oblige, le niveau de définition est accru et permet désormais d’apprécier bien davantage les moindres détails (ah ces gros plans sur le visage sali de la petite fille coincée dans l’antre de la bête !). Concernant précisément la bête, Bong Jon Hoo rappelle dans le documentaire que le film comporte 115 plans CGI de la créature confiés à la société The Orphanage fondée par d’anciens d’ILM en 1999 (et qui cessa ses activités 10 ans plus tard) avec un budget SFX limité et dont le design a été en partie inspiré par ses lectures du mythique magazine Cinefex. Si ces plans passent plus ou moins bien le cap de la 4K, ils laissent, comme on pouvait s’en douter, apparaître un niveau de définition un cran en deçà. Une constatation sans aucune doute liée à l’utilisation d’un internégatif pour ces plans couplés à des CGI en résolution 2K à la base.

Précisons pour finir que l’édition Blu-ray sortie chez Océan Films en 2008 en France était en 1080i (encore un éditeur qui n’avait pas compris l’intérêt du format Blu-ray et ses possibilités d’une image haute définition en 24 images par seconde comme en salles !) tout en reprenant le même master utilisé par l’éditeur Magnolia en 2007 aux États-Unis (nous avons comparé) mais qui pour le coup proposait une image en 1080/24p.

Côté son, la toute nouvelle piste coréenne Dolby Atmos est juste monstrueuse (ok on arrête) ! L’omniprésence de la pluie durant une bonne partie du film, à commencer par cette scène à la 5ème minute où des trombes d’eau s’abattent sur toutes les voies ou encore les passages dans les égouts où l’eau ruissèle de toutes parts, permet à ce nouveau mixage multicanal de s’en donner à cœur joie. À cela s’ajoutent les partitions musicales, comme par exemple à la 46ème minute lorsque la famille Park qui a réussi à passer les barrages de sécurité en se faisant passer pour une équipe de nettoyage se lance à la recherche de la gamine dans les égouts, la musique fait alors la démonstration d’une montée en puissance plus qu’impressionnante. Et que dire des scènes en présence du monstre, aussi bien à l’écran (la toute première attaque à 14 minutes sur les quais du fleuve envoie sérieusement le pâté) que hors-champ (la bête qui arrive puis repart de son antre et que l’on entend passer de voie en voie à la 54ème minute). Et quand tous ces éléments se combinent, comme par exemple lors du combat entre les membres de la famille Park et la créature sous une pluie battante à la 60ème minute, le spectacle acoustique est alors à son summum sur toutes les enceintes, caisson de basses compris. Il n’est toutefois nul besoin de se focaliser sur ces scènes bien précises tant le mixage sonore du film regorge d’une impressionnante quantité d’effets et autres bruitages sur toutes les voies. Si la VF DTS-HD Master Audio 5.1 (en 24-bits contre du 16-bits sur l’édition Blu-ray 2008) s’en sort avec les honneurs, elle ne peut toutefois rivaliser devant la puissance de la VO Dolby Atmos mais aussi et surtout atténue grandement certains bruitages (ex : les bruits urbains à la 6ème minute lors des scènes en extérieur que l’on entend à peine en VF) lorsqu’elle ne les annihile pas totalement (ex :les annonces dans les hauts parleurs de l’hôpital à 29min 30s que l’on n’entend plus du tout en VF). Quant à ceux qui pesterons devant l’absence d’une VF Dolby Atmos, nous rappellerons que ce point précis avait là aussi été abordé dans notre reportage et qu’une telle piste était très difficilement concevable (pour ne pas dire impossible) en l’absence des « stems » de la version française.

Côté bonus, The Jokers a repris l’intégralité de ceux présents sur l’édition Blu-ray de 2008, tous proposés sur un disque dédié (exception faites de la bande-annonce et des spots TV d’époque, remplacés par la bande-annonce de la ressortie 2023), auxquels viennent s’ajouter deux nouveaux suppléments déjà évoqués : le documentaire de Jesus Castro-Ortega, Histoires de famille, et la Masterclass enregistré au Grand Rex en février dernier. Dans le premier, outre les interviews de Bong Joon Ho (à Londres) et des trois comédiens (en Corée), on trouve également des interventions de la production designer Ryu Seong-Hee. En conclusion, Bong Joon Ho se rappelle avoir reçu de nombreux scénarios par e-mails de la part d’agents américains suite à la projection en avant-première mondiale de The Host à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes 2006. Des scénarios qu’ils lisaient puis jetaient à la poubelle car ils parlaient tous de monstre.s Il se rappelle également qu’à l’annonce du projet Parasite, beaucoup crurent qu’il s’agissait d’une suite de The Host. En conclusion de la Masterclass, le réalisateur revient bien entendu sur le retentissement mondial de Parasite, reparti du Festival de Cannes 2019 avec la Palme d’Or. L’occasion également pour Thierry Frémeaux de faire un appel du pied à Bong Joon Ho en lui demandant de prendre son temps pour la post-production de son nouveau film, Mickey 17, histoire que le montage soit terminé aux alentours de mars / avril 2024. Deux nouveaux suppléments de qualité qui viennent s’ajouter à ceux préexistants pour former un tout presque parfait. Presque car si l’on voulait pousser la complétude jusqu’au bout, il aurait également fallu inclure le commentaire audio (en anglais) du réalisateur présent sur l’édition Blu-ray américaine sortie en 2007. Une absence justifiée par The Jokers par le fait « qu’il aurait fallu le sous-titrer ce qui aurait engendré un surcoût non négligeable car il aurait fallu retranscrire les deux heures de commentaires en anglais puis faire traduire cette retranscription en français ». Nous on se dit quand même que pour un coffret à ce prix et voulu comme ultime, l’argument est un peu léger.

Même si nous n’avons pas eu accès au produit définitif pour les besoins de cette chronique, précisons malgré tout que cette édition Blu-ray 4K Collector de The Host a fait l’objet d’un packaging particulièrement soigné : boitier rigide, fermeture magnétique, visuel panoramique et zéro plastique (merci pour la planète !) sans oublier la présence du storyboard complet de 334 pages avec 58 pages inédites proposé en trois langues : coréen, anglais, français. Lors de notre reportage dans les locaux de The Jokers, nous avions pu apprécier aussi bien le packaging que le storyboard qui raviront à n’en pas douter les collectionneurs. Quant à ceux qui se poseraient la question de la sortie d’une édition « non collector » moins onéreuse (la Collector est commercialisée au prix public conseillé de 69,99€ TTC) : oui, celle-ci est bien prévue mais aucune date n’est avancée pour l’heure. Et lorsque cette édition « normale » sortira, celle-ci ne proposera bien entendu ni le disque de bonus, ni le storyboard, ni le luxueux packaging. On sera donc bien loin du faste de cette édition Blu-ray 4K Collector. À vous de voir.

Les plus

  • Une édition Collector gigantesque.
  • Tous les anciens suppléments sont présents.
  • Deux nouveaux bonus excellents : un documentaire et une Masterclass.
  • Le Blu-ray bénéficie du nouveau master 4K et de la nouvelle piste VO Dolby Atmos.
  • Une nouvelle piste VO Dolby Atmos monstrueuse !
  • Un nouveau master 4K remarquable…

Les moins

  • … même si les changements colorimétriques (supervisées et approuvées par Bong Joon Ho) ne seront pas du goût de tous.
  • On n’aurait pas craché sur le commentaire audio présent sur l’édition Blu-ray américaine sortie en 2007.

De haut en bas :

  • Blu-ray – Édition Océan Films 2008 (France) / Édition Magnolia 2007 (U.S.A.)
  • Blu-ray – Édition The Jokers 2023 (Master 4K)
  • Blu-ray 4K UltraHD – Édition The Jokers 2023 (Master 4K)

7 réflexions sur « The Host »

  1. Bonjour,
    Dans les – j’ajouterai le prix. Je remercie The Jokers édition pour le travail effectué mais j’aurais apprécié une édition simple du Blu Ray 4K. Du coup je n’ai pas pu acheter ce coffret.

  2. Ouff j’ai eu raison de me retenir. The jokers n’a pas beaucoup communiqué la dessus. Je vais consulter votre reportage. Lors de mon message je venais de découvrir votre site (qui est vraiment bien fait).
    Merci

  3. PS / Il n’ y a rien de prévu chez Spectrum pour une sortie à l’unité du coffret P.T.U que je n’ai pas acquis, à cause du prix également bien que je salue la qualité du travail.
    Merci

  4. Concernant Spectrum, leur principe c’est de ne jamais rééditer quoi que ce soit et à la date d’aujourd’hui il n’y a rien de prévu en ce sens en 2024.

  5. Merci pour votre réponse @Sandy Gillet mais €80 c’est quand même une belle somme. Je l’ai regardé en HD sur Arte, je vais conserver mon dvd. Je continue à suivre digitalcine.fr .
    Bonne fin de semaine.

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