Il était une fois dans l’Ouest : Un 4K qui joue aussi de la gâchette

Premier long-métrage du grand Sergio Leone à avoir les honneurs d’une parution Ultra HD en France, Il était une fois dans l’Ouest sort dans une édition Blu-ray 4K qui pose quelques questions.

DigitalCiné peut percevoir un modeste pécule sur les achats effectués via les liens d'affiliation.

Il était une fois dans l'Ouest - Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray

Éditeur :Paramount Pictures France
Sortie le :15 mai 2024  

Test Blu-ray 4K Ultra Haute Définition
Image (4K) :
Image (2K) :
Son :
Bonus :

Il était une fois dans l'Ouest en Blu-ray 4K Ultra HD

Retrouvez les informations concernant nos captures et notre matériel de test sur cette page.

Testé à partir de checkdiscs fournis par l’éditeur.

Retrouvez nos captures 4K UltraHD en résolution native 3840 x 2160 pixels au format PNG non compressé sur notre Patreon

Il était une fois dans l’Ouest (1968) de Sergio Leone - Édition 2024 - Capture Blu-ray 4K Ultra HD

Il était une fois dans l’Ouest – Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray

Synopsis : Un homme à l’harmonica poursuit inlassablement Frank, un tueur à la solde de Morton, le patron des chemins de fer qui, convoitant un point d’eau afin de ravitailler ses locomotives sur une nouvelle ligne, n’hésite pas à faire assassiner le propriétaire du domaine avant de chercher à soudoyer sa veuve et héritière. L’Ouest se civilise, mais la haine des hommes, elle, ne change pas…

Disque 1 : Il était une fois dans l’Ouest en Blu-ray 4K Ultra HD

Spécifications techniques :

  • Image : 2.35:1 encodée en HEVC 2160/24p Dolby Vision
  • Langues : Anglais DTS-HD Master Audio 5.1, Anglais Dolby Digital 2.0 mono restaurée, Français, Allemand et Espagnol Dolby Digital 2.0 mono
  • Sous-titres : Français, Anglais
  • Durée : 2h 45min 49s

Bonus :

  • Aucun

Disque 2 : Il était une fois dans l’Ouest en Blu-ray

Spécifications techniques :

  • Image : 2.35:1 encodée en AVC 1080/24p
  • Langues : Anglais DTS-HD Master Audio 5.1, Anglais Dolby Digital 2.0 mono restaurée, Français, Allemand et Espagnol Dolby Digital 2.0 mono
  • Sous-titres : Français, Anglais
  • Durée : 2h 45min 49s

Bonus (SD & VOSTF) :

  • Commentaire audio de Sir Christopher Frayling, Sheldon Hall, John Carpenter, John Milius, Alex Cox, Bernardo Bertolucci et Claudia Cardinale
  • Commentaire audio par les présentateurs du podcast Spaghetti Western – Nouveau
  • Une rétrospective avec Leonard Maltin (5min 32s) – Nouveau
  • Un opéra de violence (28min 50s)
  • Le salaire du péché (19min 38s)
  • Quelque chose en lien avec la mort (18min 20s)
  • Chemins de fer : Révolutionner l’ouest (6min 22s)
  • Lieux de tournage : Avant et maintenant (4min 30s)
  • Galerie de la production (5min 18s)
  • Bande-annonce cinéma (2min 54s, VO, HD)

Détails techniques :

  • Taille du disque : 62,10 Go
  • Taille du film : 61,60 Go
  • Bitrate vidéo moyen : 35,93 Mb/s (surcouche Dolby Vision : + 9,06 Mb/s)
  • VO DTS-HD Master Audio 5.1 (24-bit) : 3,24 Mb/s
  • VF Dolby Digital 2.0 : 224 Kb/s

À l’occasion de la ressortie du film dans les salles obscures en 2016, nous avions chroniqué l’édition combo « Blu-ray + DVD » sortie en 2011 (une édition simple Blu-ray sortira également en 2013) avec pour conclusion la phrase suivante : « Il était une fois dans l’ouest demeurera à jamais un classique que la présente déclinaison Blu-ray nous permet de redécouvrir à l’envie dans les meilleures conditions possibles à date. En attendant un hypothétique Blu-ray 4K Ultra HD ». Huit ans plus tard, nos rêves sont enfin devenus réalité avec la présente édition Blu-ray 4K. Est-il encore besoin de présenter ce joyau du Septième Art signé Sergio Leone ? Nous nous étions déjà longuement répandus sur le sujet dans notre précédente chronique Blu-ray, des thèses entières sur le film ont déjà vu le jour et ce chef-d’œuvre intemporel continuera sans l’ombre d’un doute d’être disséqué au cours des décennies et des siècles à venir tant la maestria de l’ensemble confère au sublime : histoire, interprétation, mise en scène, musique, etc.

Pour sa parution sur support UHD, Il était une fois dans l’Ouest est proposé sous la forme d’une édition combo Blu-ray 4K + Blu-ray où l’on peut déjà retenir les points suivants :

  • Les disques 4K et Blu-ray sont tous deux issus du nouveau master 4K (on y revient juste après).
  • Les pistes sons sont strictement identiques à celles proposées sur la précédente édition Blu-ray de 2011.
  • Les bonus (présents uniquement sur le disque Blu-ray) sont tous repris de la précédente édition Blu-ray de 2011 auxquels sont venus s’ajouter deux nouveaux suppléments.

En haut : Menu du Blu-ray de 2011
En bas : Menu du Blu-ray de 2024

Les deux bonus en question ne nous apprennent rien de nouveau. En 5 minutes chrono, Une rétrospective avec Leonard Maltin revient sur le casting des trois acteurs principaux (Fonda, Bronson, Cardinale), sur certains plans iconiques (le plan séquence ascensionnel qui dévoile toute la ville à l’arrivée de Jill), etc. Quant au commentaire audio par les présentateurs du podcast Spaghetti Western, Jay Jennings et Tom Betts ne font le plus souvent rien de plus que paraphraser l’action à l’écran ou bien s’extasient devant. Au final les anciens bonus repris de l’édition Blu-ray 2011, eux-mêmes repris du DVD Collector 2003, restent la valeur la plus sûre même si l’on appréciera l’effort consenti par l’éditeur pour en produire de nouveaux.

Le point qui n’a donc absolument pas bougé d’un iota par rapport à l’édition Blu-ray 2011 est la section sonore : deux pistes anglaises, l’une en DTS-HD Master Audio 5.1, l’autre en Dolby Digital 2.0 mono restaurée et une piste française Dolby Digital 2.0 mono. Avec au final les mêmes avantages / inconvénients : la piste 5.1 fait la part belle aux partitions de Ennio Morricone, aux tirs de pistolet (quitte à en faire des caisses et à verser dans l’outrance avec ce sentiment que chaque tir ressemble à un e déflagration venant d’un char d’assaut) et à différents effets bien spécifiques, notamment les scènes en présence des trains : lors de la séquence d’ouverture ou encore toutes celles avec le train de « Monsieur Teuf Teuf ». Mais en contrepartie, le vent, élément oh combien important dans les westerns et a fortiori ceux de Sergio Leone, devient quasi inaudible sur les deux pistes anglaises tandis qu’il est parfaitement bien audible sur la piste française. Piste au demeurant qu’il ne sera pas interdit de préférer pour ses immenses qualités de doublage et ses répliques cultes (d’aucuns apprécieront d’ailleurs celle reprise dans le titre de cette chronique).

« Un certain Judas a trouvé que 30 dollars c’était tout à fait suffisant.
Y’avait pas de dollars à cette époquelà.
Mais des fils de putes ça y’en avait ! »

Dernier point et non des moindres puisqu’il a déjà fait couler beaucoup d’encre sur les forums et autres réseaux sociaux au cours des dernières semaines. On veut bien entendu parler des réactions à la découverte des captures comparant l’édition Blu-ray de 2011 et ce nouveau master de 2024 de Il était une fois dans l’Ouest. Et chacun d’y aller à nouveau de son interprétation personnelle et de ses propres conclusions : « C’était mieux avant ! Ça ne respecte pas les intentions du réalisateur ! Ça n’est pas à ça que le film devrait ressembler ! Etc. etc. etc. » Soupirs, re-soupirs et re-re-soupirs serait-on tenté de réagir de prime abord à la découverte de ces réactions souvent hâtives et qui ne prennent que trop rarement (hélas) du recul.

Avant d’aller plus loin, il convient de reprendre le communiqué de presse anglo-saxon officiel à propos de cette édition Blu-ray 4K qui stipule :

Le film a été restauré depuis le négatif originel 35mm Techniscope par les archivistes de Paramount, L’Image Retrouvée et The Film Foundation. Cette restauration rend justice à la restauration photochimique effectuée par The Film Foundation en 2007 supervisée par le légendaire réalisateur Martin Scorsese et respecte son élaboration et sa colorimétrie. En résulte la version home-cinéma définitive du film dans toute la splendeur de son montage rallongé de 165 minutes.

Pancarte concernant la restauration du film
En haut : Sur le Blu-ray de 2011 (au début du film)

En bas : Sur le Blu-ray et Blu-ray 4K de 2024 (à la fin du film)

Nous sommes donc ici en présence d’une image au format 2.35:1 encodée en HEVC 2160/24p Dolby Vision à partir d’un nouveau master 4K obtenu à partir du négatif originel 35mm Techniscope. Pour rappel, le Techniscope est un format 35mm à deux perfos (moins onéreux que le traditionnel 35mm quatre perfos) qu’utilisa Leone pour sa trilogie du dollar ainsi qu’un certain George Lucas pour American Graffiti. Dixit le communiqué de presse, le nouveau master de 2024 serait donc plus respectueux de la restauration de 2007 que celui utilisé pour le Blu-ray de 2011. À la question : est-ce exact ? Notre réponse est « oui, mais ». Le « oui » justifiant la note correcte que nous lui attribuons et le « mais » justifiant le fait que celle-ci ne soit pas plus élevée. Explications point par point.

Pour commencer ce nouveau master 2024 est d’une propreté qui force le respect. Là où le précédent de 2011 laissait encore apparaître différentes petites scories çà et là, celui de 2024 n’en laisse plus passer beaucoup. À tout le moins pas d’aussi visibles que précédemment. Dire que Il était une fois dans l’Ouest a déjà franchi le cap du demi-siècle tout en offrant une image aussi propre est un petit miracle en soit pour un film aussi « âgé ». Chacun pourra par ailleurs apprécier les différences de cadrage d’un plan à l’autre mais comme l’expliquait fort à propos Le Labo de Jay dans sa vidéo consacrée à l’édition 4K de Aliens, le retour : lorsqu’un film fait l’objet d’un nouveau scan, a fortiori à plusieurs années d’intervalle, il est quasi impossible de se retrouver en présence de la même fenêtre de scan. CQFD !

Même constat de satisfaction du côté de la définition, et ce dès la (longue) séquence d’ouverture. La profondeur de champ lors des plans larges de cette gare perdue au milieu de nulle part force le respect tandis que l’on n’a jamais vu les poils de barbe des sbires de Frank (Henry Fonda) avec une telle précision jusqu’à ce jour.

Arrive ensuite le premier point d’achoppement, à tout le moins pour certains mais pas à nos yeux : la nouvelle colorimétrie. Et d’aucuns de tomber une fois encore sur le râble du labo italien L’Image retrouvée et ses teintes jaunâtres ! Oui le nouvel étalonnage de 2024 laisse place à une colorimétrie qui tend résolument vers les teintes jaunes et brunes. En comparaison, celui de 2011 apparaît désormais plus « blafard ». Rappelons que le film a principalement été tourné en Espagne (la désormais célèbre province d’Almería en Andalousie où furent tournés tant de westerns), en Italie (dans les mythiques studios de Cinecittà) ainsi qu’aux États-Unis (du côté de Monument Valley). C’est d’ailleurs dans ce dernier lieu que l’action de Il était une fois dans l’Ouest se déroule principalement. Une région pas spécialement connue pour ses températures glaciales en pleine journée. De fait, se retrouver aujourd’hui en présence d’une nouvelle colorimétrie aussi « chaleureuse » n’a rien de dérangeant selon nous a fortiori via le nouvel étalonnage HDR Dolby Vision qui renforce encore cette impression juste comme il faut sans verser outre-mesure dans l’excès comparé au rendu SDR du disque Blu-ray (qui pour rappel bénéficie lui aussi de ce nouveau master). Et il va sans dire que le sieur Scorsese qui avait supervisé la restauration de 2007 et sur laquelle s’est appuyée cette nouvelle restauration de 2024 avait fait les choses comme il faut dans ce domaine. En résulte à nos yeux un nouvel étalonnage certes plus chaleureux mais qui sied à merveille à cette image sablonneuse, terreuse et poussiéreuse du grand ouest américain.

Arrive enfin les deux anicroches qui pour le coup nous chagrinent davantage. Le premier concerne le grain… ou plus précisément son absence du fait d’un DNR pour le moins omniprésent. Certes pas dans les proportions du lissage que nous avions pu observer, au hasard, sur American Graffiti, mais tout de même suffisamment pour que cela se ressente là encore dès la scène d’ouverture et tout particulièrement sur les faciès patibulaires et burinés des sbires de Frank. Certains s’en accommoderont sans doute très bien mais pour ceux qui ont toujours connu la photographie argentico-granuleuse de Tonino Delli Colli, qui travailla à deux autres reprises avec Sergio Leone – Le Bon, la Brute et le Truand (1966) et Il était une fois en Amérique (1984) – cette atténuation du grain risque davantage de les offusquer.

Le second reproche concerne l’encodage. Comment expliquer en effet qu’un film de 2h45 ait été encodé sur un disque UHD double couche dont la capacité totale est de 66 Go ? Au final, pour les amateurs de chiffres, le film pèse 61 Go, pistes audio incluses, 53 Go pour l’image seule (pour rappel, on ne trouve que le film et rien que le film sur le disque UHD) et le bitrate moyen n’est « que » de 36 Mb/s (+9 Mb/s pour la surcouche Dolby Vision). En partant de l’hypothèse que le film soit encodé sur un disque triple couche, le film aurait alors pu occuper près de 90Go, soit un fichier 1,45 fois plus gros, et le bitrate atteindre ainsi un bien plus confortable 70Mb/s (fin de la parenthèse mathématiques). Alors certes, nous n’avons pas observé de défaut patent en la matière, aucun artefact majeur de compression, tout juste quelques fourmillements ici ou là. Cependant, la question se pose quant à l’origine du lissage observé : est-ce vraiment dû à un recours un peu trop prononcé au DNR ou bien à une compression un peu trop forte (par manque de place sur le disque) ? À en croire la critique de The Digital Bits, la réponse pencherait plutôt du côté de l’encodage. Ces derniers ont en effet pu comparer l’image proposée par le disque Blu-ray 4K et celle disponible via Kaleidescape, un système dématérialisé de qualité Ultra Premium disponible dans trois pays uniquement dixit leur FAQ : États-Unis, Canada et Royaume-Uni. Le film y pèse alors près de 87 Go et le rendu y retrouve alors un peu plus son rendu argentique. Nous concernant, pour avoir comparé avec l’image du Blu-ray, celle-ci nous apparaît elle-aussi un peu trop dégrainée. Le lissage ne serait donc pas uniquement imputable à l’encodage.

L’image est-elle mauvaise pour autant ? Loin s’en faut. Disons simplement qu’à nos yeux elle n’atteint pas le niveau d’excellence technique que l’on était en droit d’espérer pour un tel marqueur du Septième Art. Cette édition Blu-ray 4K Ultra HD de Il était une fois dans l’Ouest reste donc tout à fait recommandable. À noter d’ailleurs qu’il existe une édition Collector en exclusivité FNAC comportant quelques goodies supplémentaires (moyennant finance bien entendu) : affiche, photos, etc. Mais la question se pose de savoir si Paramount ne proposera pas une édition plus méritante par la suite avec cette fois-ci le film encodé sur un disque triple couche ? Vœu pieux s’il en est.

Les plus

  • Un western mythique, à voir et à revoir encore et encore.
  • Des bonus excellents (et de surcroît sous-titrés).
  • Un nouveau master 4K dont bénéficie également le disque Blu-ray.

Les moins

  • Un rendu un peu trop lisse à nos yeux : la faute au DNR ou à l’encodage trop appuyé faute de place sur le disque 4K ?

De haut en bas :

  • Blu-ray – Édition 2011
  • Blu-ray – Édition 2024
  • Blu-ray 4K UltraHD – Édition 2024

DigitalCiné peut percevoir un modeste pécule sur les achats effectués via les liens d'affiliation.
  • Il était une fois dans l'Ouest (1968) de Sergio Leone - Édition Collector Limitée Spéciale Fnac - Packshot Blu-ray 4K Ultra HD
Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray + Goodies
Éditeur : Paramount Pictures France
Sortie le : 15 mai 2024  
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8 réflexions sur « Il était une fois dans l’Ouest : Un 4K qui joue aussi de la gâchette »

  1. Quelquefois la critique d’un Blu-ray sur ses qualités ou non, et défauts ou non, ressemble à une sorte de masturbation intellectuelle. Qu’est-ce que l’on s’en br… du « poids » du film encodé ou non en gnagna… Ce chef d’oeuvre enfin en 4k se visionne avec plus que de plaisir, un régal pour les yeux, un régal pour les oreilles. Quelle chance avons nous de posséder ce film en Blu-ray et de le visionner sur notre lecteur. Quelle chance avons nous de pouvoir stopper le défilement du film et revenir re-visionner jusqu’à plus soif des séquences de ce chef d’oeuvre, ah, la gare, le sifflement du train au loin, ah, le duel final avec l’entrée dans l’image sur la droite de « l’harmonica » et la musique d’Ennio qui souligne cette entrée. Alors, oui, Messieurs les critiqueurs, qu’est-ce qu’on s’en br… du poids du film !

  2. Je suis curieux d’une chose. J’ai acheté deux copies de ce film, et toutes deux ont eu le même problème : des coupures (brèves) du son lors du duel final, à deux reprises, et sur les deux disques, 4K et BR. Les avez-vous eues aussi ? Je peine à croire que ça ne soit que de la malchance de mon côté à ce niveau-là (mon lecteur est quasiment neuf, P.UB-820)… J’ai commandé l’édition anglaise pour en avoir le cœur net. J’apprécierais beaucoup votre retour !

  3. Bonjour,

    Pourriez-nous préciser dans quelle langue vous avez pu constater cela et surtout nous donner l’exact Time Code du ou des passages en question ? Ceci en effet afin de voir si nous constatons la même chose que vous et qui nous aurait échappé.

    Merci

  4. Bonjour, c’était sur la version anglaise 5.1 à 2h23, je n’ai plus le time code exact mais c’est dans ces environs là (après que Frank a fait tomber sa veste au sol). Le son saute lors du vis-à-vis, puis juste après que Frank a mis l’harmonica dans la bouche de Bronson (dans le flashback).

  5. C’est un de mes film préféré de tous les temps ,enfin en 4K et c’est magnifique Les couleurs chaudes et les contrastes sont époustouflants. Chaque image est un pur moment de plaisir total . Bref je jubile de bonheur.

  6. Bonjour,
    J’ai à nouveau vérifié le duel en question, soit de 2h23 à 2h30 environ, en VO 5.1 et n’ai pas rencontré le moindre problème aussi bien sur le disque BR que 4K.

  7. Bonjour, je vous remercie d’avoir pris le temps de vérifier. Je suppose alors qu’il doit y avoir un souci avec mon lecteur Panasonic, puisque j’ai essayé avec une troisième édition, anglaise cette fois-ci, et même problème. J’ai noté que les testeurs de chez Bluray.com ont carrément été incapables de lire le film sur leur propre lecteur Panasonic (UB-9000), probablement pas une coïncidence… Tant pis !

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